La liberté n'est pas seulement la libre action, ni même le libre choix. Le fait de choisir ne mène pas forcement à la liberté, puisque la liberté implique d'être responsable et de prendre en compte une quantité de choses. Ainsi l'obéissance permet d'une certaine façon, de se libérer des contraintes (...)
[...] Mais l'obéissance n'est elle pas non plus un accord entre les deux partis plutôt qu'une contrainte. Par exemple, le père montre à son enfant qu'il veut qu'il lui obéisse, l'enfant accepte ou refuse. Qu'est ce que la liberté après tout, la liberté absolue n'existe pas donc la liberté est ce le fait de faire tout ce qu'on veut sans rendre de compte ou le fait d'accepter les règles pour pouvoir vivre ensemble, et donc plus libre. En effet si on s'oppose aux règles, elle risque d'être encor plus sévère pour contraindre à obéir. [...]
[...] Son esprit est conditionner de sorte qu'il lui est impossible de penser par lui-même d'une certaine manière. Le fait d'obéir implique que ce soit les autres qui décident pour nous, l'homme est donc habitué à obéir. Il obéi aux règles, aux lois, mais de quel droit certaine chose lui sont il interdite alors que d'autre non. L'obéissance fait que nous ne nous posons même pas la question. Ainsi pourquoi ne pas avoir le droit de couper le bras d'un individus mais une branche si. [...]
[...] Ainsi Hegel dans La phénoménologie de l'esprit nous présente une situation ou celui qui obéi se retrouve être plus libre que l'autre. Le premier maître soumet l'esclave mais au bout du compte il devient l'esclave de son esclave. Par ce qu'il ne travail pas et l'esclave en obéissant et travaillant ce liber de sa condition d'esclave. Le travail lui donne une forme de connaissance de capacité qui font de lui le maître du maître qui lui ne joui que de sa domination sans acquérir de connaissance. [...]
[...] En effet, on peut désobéir et cela peut être tolérer, de cette façon un autre accord s'est mis en place entre les deux partis. Si l'on demande à une personne d'obéir en ne sortant pas d'une pièce et que le feu se déclare, alors on tolère la désobéissance. L'obéissance n'est donc pas absolu. Même si une sanction peut exister, l'obéissance repose sur l'acceptation. On accepte, on tolère d'être soumis par ce qu'on y trouve un intérêt. Mais la désobéissance n'est pas toujours acceptée. Ainsi la censure, si elle n'avait pas été dépassée, l'histoire en serait peut être changer. [...]
[...] L'obéissance s'oppose-t-elle à la liberté ? Introduction : La liberté n'est pas seulement la libre action, ni même le libre choix. Le fait de choisir ne mène pas forcement à la liberté, puisque la liberté implique d'être responsable et de prendre en compte une quantité de choses. Ainsi l'obéissance permet d'une certaine façon, de se libérer des contraintes. C'est une solution de facilité qui permet de se libérer des tentions et des choix que la vie nous soumet à chaque instant. [...]
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