Dans l'Antiquité Gréco-romaine il existe deux classes ; les maîtres et les esclaves, le but est alors de ne pas être un esclave. Ce sont les militaires qui capturent les prochains esclaves afin de les vendre sur des marchés, les laves sont les plus concernés par ce trafic.
D'après Aristote les esclaves sont des outils animés contrairement aux vrais outils qui sont des outils inanimés.
Mais pourquoi parle-t-on de liberté politique ?
Parce que le système politique gréco-romain est un système esclavagiste car il est fondé sur l'esclavage. Ce sont les femmes qui restent à la maison pour gérer les esclaves, tout est fondé à l'époque sur un principe de commandement. Notons également que les hommes à l'époque avaient droit de mort sur leurs femmes ou leurs enfants (...)
[...] Le libre-arbitre c'est la faculté de trancher en l'absence de raison déterminante. Le second degré dépend de notre raison, c'est elle qui nous dit quel est le bon choix, c'est alors notre volonté qui accepte ce choix. Enfin le dernier degré est caractérisé comme étant une volonté diabolique de l'homme, par exemple lorsque nous connaissons le bon choix, nous pouvons suspendre le bon choix pour prendre le mauvais. Liberté et déterminisme d'après Spinoza Spinoza est un philosophe hollandais. La Hollande au XVIIème siècle est considérée comme le centre du monde, il y a des grandes banques, de grands artistes et l'Hollande est le pays le plus tolérant d'Europe bien qu'il s'agisse d'un pays protestant. [...]
[...] Mais qu'es que le destin ? Dans l'Antiquité il existait des grades qui faisaient des prophéties afin de donner une vision du futur donc de leur destin aux personnes les consultants. Prenons l'exemple de la tragédie d'Oedipe, dans ce cas en s'éloignant de ce destin, il l'accomplit. Même si l'on écarte notre destin, ce dernier ne peut nous échapper. Les stoïciens pensent donc qu'il est inutile d'essayer d'échapper à notre destin, d'après Epictète (sage stoïcien) il y a ce qui dépend de nous et ce qui ne dépend pas de nous. [...]
[...] D'après Freud nos actes conscients sont en fait causés par des désirs inconscients, notre esprit est d'après le psychanalyste composé de trois éléments appelés instances qui sont des éléments du psychisme : Le ça est un ensemble de pulsions inconscientes Le surmoi est un ensemble des interdits parentaux et sociaux Le moi est le résultat du conflit entre le ça et le surmoi Pour Freud les pulsions fondamentales sont les pulsions sexuelles. Des pulsions (ça) deviennent consciente et sont satisfaite consciemment (ex : la faim). Certaines pulsions ne peuvent cependant pas être la cause de la barrière des interdits parentaux et sociaux, elles sont donc refoulés et demeure inconsciente (Surmoi). [...]
[...] Le but est alors d'avoir des individus égaux ayant tous les mêmes capacités, notamment celle de raisonner donc de se gouverner eux-mêmes. Il s'agit ici de la base idéologique de la démocratie car on pense que chacun à la capacité de raisonner. Il s'agit du phénomène d'autonomie. Au XVIIème siècle Descartes pense que tout les corps sont soumis à la relativité du mouvement (mouvement qui ne dépend pas de nous mais d'un repère) et aux lois universelles. D'après Descartes tout les corps ne sont pas libres car ils sont soumis aux lois de l'univers, seulement l'esprit est libre donc. [...]
[...] La seule chose que je puisse alors faire est d'accepter mon destin ou de le refuser. Il existe donc bien d'après les stoïciens une liberté intérieure car nous sommes libre d'accepter ou pas notre destin. Cependant d'après les stoïciens, le fait de refuser notre destin apporte des souffrances supplémentaires à l'homme. Le choix des esclaves notamment est alors d'accepter sa condition d'esclave soit de refuser cette condition et risquer de souffrir d'avantage. Phrase de Sénèque : Le destin conduit ce qui acquiesce et traine de force ceux qui refusent. [...]
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