Le non-conscient peut être défini comme la négation de la conscience. Le corps vient troubler la conscience. C'est la mémoire qui permet la conscience. La conscience est troublée mais pourquoi ? Par quoi ? C'est le non-conscient.
L'homme est composé d'une âme et d'un corps, soit d'une conscience et d'un corps. L'âme vient de « psuke » en grec, ce qui signifie « qui n'est pas matériel ». C'est le principe de l'individualisation (...)
[...] Lorsque la conscience veut être vigilante mais que l'on rate quand même. (exemple : lapsus révélateur) Elle ne se contrôle pas même quand elle veut. On est fou, qu'on a un toc, une obsession . Il y a étendue et intensité : elle ne sait pas faire les deux. II/ Le non-conscient Le non-conscient peut être définit comme la négation de la conscience. Le corps vient troubler la conscience. C'est la mémoire qui permet la conscience. La conscience est troublée mais pourquoi ? [...]
[...] De plus, Freud a montré que les enfants ne sont pas des anges mais des pervers polymorphes. Cela signifie que les enfants ont des pulsions de toutes sortes qu'ils expriment. Puis le Sur-moi se construit. Freud est condamné pour immoralité. Il est critiqué par les philosophe classique. Certains pensent que seule la conscience existe. L'inconscient est impensable. De plus, il y a une crainte d'ordre moral. On n'est pas responsable de son inconscient. Donc chaque fois qu'on va nous reprocher quelque chose on va dire c'est pas moi L'inconscient est vu comme un prétexte. [...]
[...] Il rejette la psychanalyse et l'inconscient. Descartes comprend comment la censure consciente peut exister mais pas comment on peut censurer quelque chose qu'on ne connait pas (la censure inconsciente). Le concept de censure inconsciente est contradictoire. Descartes remplace la censure inconsciente par de la mauvaise foi. Nous nous mentirions à nous même. Cependant, c'est le Sur moi qui censure la Ça Le Moi n'est donc pas au courant. Freud pense que la psychanalyse est une science. Freud suit la méthode scientifique. [...]
[...] C'est pour cela qu'il y avait des spécialistes pour décrire les rêves. Descartes, lui, pense que le rêve est dénué de toute forme de significations. C'est seulement l'effet que le corps produit sur l'âme. L'explication est mécanique. Freud pense encore autre chose. Le rêve, pour lui, est le discours de l'inconscient. On réalise ce que dans la journée, on n'a pas pu réaliser. C'est l'expression d'un désir insatisfait. Il y a deux types de rêves différents : Le rêve est l'expression d'un désir inconscient. [...]
[...] C'est un fonctionnement normal. On peut cependant basculer peu à peu dans la pathologie La folie est un dis fonctionnement de l'appareil psychique. On est tous soumis à ces accidents. Être normal correspond à aimer et travailler. Soit avoir une relation avec les autres et le monde. IV/ Critique de la psychanalyse La psychanalyse est volontaire. Or les personnes volontaires ne sont pas très malades. Les malades nient la maladie. De plus, c'est long et cher. La psychanalyse est un élément parmi d'autres dans un traitement. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture