La première partie du 19e siècle est dominé par la philosophie allemande notamment avec la figure du philosophe allemand Hegel. C'est également au cours de ce siècle que la discipline connaît, tout comme les sciences, des développements dans de nouveaux domaines de la pensée (...)
[...] Ainsi parlait Zarathoustra (paru en 1885), résume toute sa philosophie qui est fondée sur le désespoir. Développé par la suite dans Par delà le bien et le mal (1886) et la volonté de puissance (projet abandonné en 1888, recueil de textes dû à sa sœur Sophie), sa philosophie prend aussi comme objet de départ l'art, manifestation essentielle de la vie, le premier s'illustrant par la sculpture, la peinture, la littérature, le second par la musique, thème développé dans la naissance de la tragédie (écrit en 1871). [...]
[...] La philosophie aide à faire la synthèse des vérités admises par les sciences. Son travail dans un premier temps consiste à ranger dans l'ordre toutes ces sciences. Les sciences, en fait, sont dépendantes les unes des autres, mais plus l'objet d'une science est simple plus ses lois sont d'ordre général. La sociologie est par exemple la science dont la fonction est de comprendre le devenir nécessaire de l'histoire. Le but même de cette science donne donc priorité au tout sur l'élément, et à la synthèse sur l'analyse. [...]
[...] La dialectique de l'histoire : Le principe essentiel qui dirige la philosophie de l'histoire de Hegel est que l'idée gouverne le monde et que l'histoire est rationnelle : tout ce qui est réel est rationnel, tout ce qui est rationnel et réel. La dialectique n'est donc pas seulement la propriété de la pensée mais aussi celle des choses. Au déterminisme historique succède un déterminisme dialectique qui, au contraire du premier, se définit par le progrès des choses et de la pensée. Le positivisme : Auguste Comte (1798-1857) naquit dans la ville de Montpellier. Celui a étudié à polytechnique avant de devenir secrétaire de Saint-Simon. [...]
[...] De 1824 à 1842, il publie son cours de philosophie positive. En 1847, il institue une religion de l'humanité et se nomme chef de celle-ci. Il fonde la société positiviste six années après la fin de publication de son cours de philosophie positive soit en 1848 et meurt neuf années plus tard en 1857. Ses autres principales œuvres sont le système de politique positive (1851-1854) et la religion de l'humanité (1851-1854). Par la sociologie, Auguste Comte apporte une solution à la crise du monde moderne en mettant en avant un système d'idées scientifiques qui autorise la réorganisation sociale. [...]
[...] La dialectique doit lever les contradictions, soit les surmonter. Elle procède en trois étapes à savoir la thèse, l'antithèse et pour finir la synthèse. La thèse sera appelée concept abstrait, l'antithèse concept dialectique ou alors concept réfléchi, et la synthèse concept spéculatif. La philosophie du véritable savoir, de l'esprit et de la nature : Hegel définit la philosophie comme le tout d'une science qui en représente l'idée et la divise en trois parties : La logique : science de l'idée en soi et pour soi, elle se définit comme une ontologie qui étudie l'être, l'essence, le concept. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture