La liberté c'est l'absence d'entrave et de contraintes. C'est l'état d'une personne qui n'est pas soumise à la servitude. Par opposition, l'esclavage se définit par la dépendance étroite de quelqu'un à l'égard de quelque chose ou de quelqu'un d'autre. C'est également être sous domination tyrannique. Peut-on trouver des rapprochements entre la liberté et l'esclavage ? A partir de quel moment peut-on considérer qu'un homme est libre ou esclave ? La liberté ne serait-elle qu'une illusion ? Quels sont donc les facteurs qui déterminent la liberté ? (...)
[...] Mais cela n'est pas absolument vrai, car en réalité, être captif de son plaisir ( c'est le pire esclavage Agir librement, c'est agir de façon réfléchie, de telle sorte que je ne regrette pas le lendemain un acte impulsif ou imprudent. Par exemple, une personne alcoolique qui se précipite au café n'est pas libre puisque demain il sera malade et ce n'est pas ce qu'il souhaitait forcément. C'est en partie pour cela que l'on peut dire qu'un homme est esclave de sa liberté morale. Cependant la liberté morale n'est que liberté personnelle. Existe-t-il des libertés collectives ? [...]
[...] Le but est donc de rendre compatible la nécessité et la liberté. Nous pouvons aussi dire, que la société actuelle avec certaines libertés politiques est soumise à la mondialisation vers un seul système économique et politique. Les libertés collectives qui en découlent sont inscrites dans ce cadre. Le but premier de la politique est d'assurer la liberté dans la société. Cependant cette liberté engendre une soumission. La politique perpétue donc une dépendance, une sorte d'esclavagisme. Après avoir étudié la liberté d'un point de vue moral et politique, nous devons nous demander si les hommes sont conscients de leur esclavage ou de leur liberté. [...]
[...] Les lois sont-elles des entraves à la liberté ? Et enfin, nous nous demanderons si les hommes sont conscients de leur état de servitude ou de liberté ? Y a-t-il des éléments qui peuvent rendre un homme inconscient de sa liberté ? La liberté du point de vue de la morale s'explique comme le pouvoir d'échapper aux contraintes et de tout placer sous la juridiction de la raison. Etre libre c'est n'avoir aucune contrainte donc par définition aucune contrainte morale. [...]
[...] Elle se fait alors généralement cruauté, et même dans un cas exceptionnel de despotisme éclairé toujours l'ennemie de la liberté. Selon Diderot : le gouvernement arbitraire d'un prince juste et éclairé est toujours mauvais Si la liberté absolue d'un seul est dangereux, la liberté absolue de tous ne l'est pas moins en tant qu'elle expose au chaos. C'est pourquoi il est nécessaire de limiter l'indépendance de chacun et de redéfinir la liberté comme le pouvoir de faire non pas ce qu'il nous plaît, mais tout ce qui ne nuit pas à autrui selon l'article 4 de la déclaration de droits de l'homme de 1789. [...]
[...] Dissertation de Philosophie Terminale S Les hommes préfèrent-ils l'esclavage à la liberté ? Plan Introduction La liberté du point de vue de la morale La liberté politique La conscience d'être libre ou esclave Conclusion La liberté c'est l'absence d'entrave et de contraintes. C'est l'état d'une personne qui n'est pas soumise à la servitude. Par opposition, l'esclavage se définit par la dépendance étroite de quelqu'un à l'égard de quelque chose ou de quelqu'un d'autre. C'est également être sous domination tyrannique. Peut-on trouver des rapprochements entre la liberté et l'esclavage ? [...]
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