Chaque individu pouvant être croyant ou bien athée d'un terme « religieux » car bénéficiant de sa liberté de pensée, d'expression, on peut se poser la question de savoir lequel a tort.
Cela nous amènera donc à étudier dans une première partie les concepts de croyant et d'athée ainsi que celui d'avoir tort. Le problème qui se posera alors sera de déterminer qui a tort et de le montrer (...)
[...] On ne peut pas dire qui a raison ou qui a tort du croyant ou de l'athée. Cela signifie-t-il que dans le domaine de la croyance, il n'y a pas d'attitude rationnelle possible. Cela reviendrait à considérer que la raison ne s'exerce que dans le domaine scientifique de l'enchaînement des phénomènes et que lui échappe tout le domaine existentiel. En effet, reposent sur la croyance : - la vie affective (aimer c'est croire qu'on aime) - la vie politique - l'art - le projet (croyance dans le temps) A chaque fois, on engage des valeurs en dehors des raisons que l'on peut en donner. [...]
[...] Du croyant ou de l'athée, lequel a tort ? Solution Chaque individu pouvant être croyant ou bien athée d'un terme religieux car bénéficiant de sa liberté de pensée, d'expression, on peut se poser la question de savoir lequel a tort. Cela nous amènera donc à étudier dans une première partie les concepts de croyant et d'athée ainsi que celui d'avoir tort. Le problème qui se posera alors sera de déterminer qui a tort et de le montrer. I Les concepts de croyant, d'athée et avoir tort Le mot croyant vient de la croyance ; un croyant est une personne qui croie en un dieu. [...]
[...] On mettait donc notre vie entre les mains de nos parents. Les adultes, et même les adolescents sont comme cela. Car, chaque individu a besoin d'une personne supérieure à elle, personne fictive. Ainsi, on peut compter sur le fait que notre destin soit géré sans que nous nous en préoccupions. La religion descend de cela, car à la base on croit en l'existence d'une personne qui nous a crée. Si on admet cela, alors se dessinent les personnes qui ont tort. II Qui a tort ? [...]
[...] Or, lorsque l'on voit le terme croyant tout seul, celui-ci désigne la croyance en une religion. Ainsi, si l'on croie en autre chose qu'à cette dernière, il faut la préciser. Comme on l'a vu dans la première partie, dans la logique des choses, on est heureux d'avoir une personne sur laquelle reposer, personne imaginaire, dont l'existence n'est pas prouvée. Par conséquent, ceux qui ont tort n'ont personne à laquelle ils peuvent confier leur destin. Généralement, celles-ci cherchent à tout expliquer par la science et non par des miracles. [...]
[...] Autour de soi, en s'y incluant parfois, de nombreuses personnes, pour la majorité jeunes (adolescents ou jeunes majeurs) rejettent le concept de religion et donc de croyant. Ils ne comprennent donc pas ces derniers qui ont leurs opinions car ils considèrent la croyance comme une chose superficielle. Néanmoins, les personnes ayant la quarantaine et celles qui sont âgées paraissent plus raisonnables et ne rejettent pas les croyants. Il apparaît ainsi que d'une manière commune, ce sont les croyants qui ont tort. Car, on observant ce qui se passe autour de nous, on peut voir qu'il y a beaucoup d'athées. [...]
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