Le philosophe se préoccupe-t-il des autres humains, sagesse, ataraxie, stoïciens, solitude, Descartes, Lucrèce, raison, souffrance, Platon, Aristote, recherche du bonheur, Kant, Épicure, Blaise Pascal, émotions
Le philosophe cherche depuis toujours des réponses aux questions qu'il se pose. L'être humain est un être capable de penser, c'est un animal pensant. Le philosophe est, lui, à la recherche de la sagesse, de la sérénité, de l'ataraxie. Il utilise sa réflexion, et donc sa raison pour atteindre la sagesse. Celui qui cherche la sagesse s'intéresse-t-il à ses contemporains ou cherche-t-il sa propre sérénité ? Les philosophes sont-ils désintéressés vis-à-vis des contemporains ? Cependant, pour quelles raisons, se préoccupent-ils des êtres humains ? Ainsi, les philosophes ne peuvent-ils pas comprendre les problèmes des humains ?
[...] En outre, certains philosophes écrivent des livres afin de venir en aide aux autres contemporains et de les conseiller. Ses ouvrages peuvent permettre aux humains de découvrir une nouvelle vision du monde une vision qui diverge par rapport à leur pensée initiale et leur permet de vivre mieux. C'est pour cela qu'Épicure a écrit La Lettre à Ménécée qui explique que craindre la mort est inutile puisque nous ne serons plus présents pour souffrir. Il n'y aura plus aucune sensation. [...]
[...] Le philosophe trouve un certain bien-être à voir la souffrance des autres humains plutôt que de lui-même. C. La sagesse ne s'enseigne pas Enfin, selon le philosophe, la sagesse ne s'enseigne pas, elle se trouve en soi-même. En effet, selon lui, seul l'être humain a la capacité de se diriger. Platon critique de ce fait les sophistes qui se qualifient tels des professeurs de sagesse. Pour Aristote : « l'humain c'est l'animal logique », c'est-à-dire que nous devons réfléchir par nous-mêmes sans demander un avis à quiconque, même si être indépendant de sa réflexion est difficile. [...]
[...] Le philosophe se préoccupe-t-il des autres humains ? Le philosophe cherche depuis toujours des réponses aux questions qu'il se pose. L'être humain est un être capable de penser, c'est un animal pensant. Le philosophe est, lui, à la recherche de la sagesse, de la sérénité, de l'ataraxie. Il utilise sa réflexion, et donc sa raison pour atteindre la sagesse. Celui qui cherche la sagesse s'intéresse-t-il à ses contemporains ou cherche-t-il sa propre sérénité ? Les philosophes sont-ils désintéressés vis-à-vis des contemporains ? [...]
[...] Effectivement, les philosophes tous comme les contemporains restent humains, même si les philosophes ne sont pas identiques. Philo(-sophie) provient de « philien » qui signifie aimer, désirer et donc rechercher ; et de « sophia » qui représente la sagesse en grec, une connaissance donnant sérénité et bonheur. C'est pour cela que Pascal dit donc que : « Le cœur a ses raisons que la raison ignore ». Les philosophes voyant les humains perdus leur portent une aide. Enfin, nous pouvons affirmer que tout être humain, y compris les philosophes, possède des émotions et des sentiments. [...]
[...] Les philosophes ne comprennent pas les problèmes des humains A. Le philosophe ne porte pas grande importance aux contemporains Tout d'abord, nous allons voir que le philosophe ne porte pas grande importance aux contemporains. En effet, le philosophe est plutôt une personne recherchant sa propre sérénité et tranquillité pour réfléchir. Il souhaite éviter toute souffrance extérieure et ainsi être serein. C'est le cas effectivement pour les stoïciens : « supporte et abstiens-toi ». Les stoïciens ont une préférence pour la solitude et ne s'attachent à personne afin d'éviter toute souffrance, tout attachement et tout sentiment qui pourraient les rendre malheureux. [...]
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