Violences de l'histoire, guerres mondiales, génocides, colonisation, paix mondiale, humanité, procès de Nuremberg, impunité, idéalisme, violences légitimes, crise de Cuba, guerres justes
Le XXe siècle, avec deux guerres mondiales et plusieurs génocides, est l'un des siècles les plus violents de l'histoire. À la fin de la Première Guerre mondiale, le monde s'est juré que cela ne se reproduira plus jamais. Pourtant, seulement une vingtaine d'années plus tard, la Seconde Guerre mondiale éclate. Nous pouvons donc nous interroger sur la possibilité de mettre fin aux violences de l'histoire. Pouvons-nous un jour rêver d'un monde totalement libéré des violences coloniales, génocidaires et des guerres ? Ou bien l'espoir d'une paix mondiale est-il vain ?
[...] En effet, il existe tout d'abord une autorité supérieure qui permet de contrôler les actions des États qui pourraient agir dans la violence. Il y a notamment l'Organisation des Nations Unies qui œuvre pour la paix dans le monde, et le droit international qui permet de gérer les relations entre États, et donc de les empêcher de reproduire les crimes contre l'humanité du passé. Ces deux organisations peuvent dissuader de l'utilisation de la violence, et donc permettre de mettre fin aux violences de l'histoire. [...]
[...] De plus, certaines violences actuelles peuvent devenir des violences de l'histoire. Le fait que nous ne connaissons pas le futur ne nous permet pas d'empêcher ce qu'il va se passer. Notre possibilité d'action est donc réduite, car une fois qu'une guerre a commencé par exemple, il est bien plus difficile d'y mettre fin dans ce cas, alors que, si les États n'ont pas encore été attaqués, il est plus facile de les raisonner, car ils n'ont pas le désir de répondre à la violence par la violence pour se défendre. [...]
[...] Peut-on mettre fin aux violences de l'histoire ? Le XXe siècle, avec deux guerres mondiales et plusieurs génocides, est l'un des siècles les plus violents de l'histoire. À la fin de la Première Guerre mondiale, le monde s'est juré que cela ne se reproduira plus jamais. Pourtant, seulement une vingtaine d'années plus tard, la Seconde Guerre mondiale éclate. Nous pouvons donc nous interroger sur la possibilité de mettre fin aux violences de l'histoire. Pouvons-nous un jour rêver d'un monde totalement libéré des violences coloniales, génocidaires et des guerres ? [...]
[...] La fin des violences de l'histoire est-elle alors réellement possible ? II. Un idéal complexe Si l'homme est naturellement violent, alors on ne peut pas mettre fin aux violences de l'histoire. En effet, les États chercheront toujours à prouver leur pouvoir en dominant les autres à travers les guerres, la colonisation, etc. Tout le monde ayant une violence en soi, la violence serait alors généralisée et tout le monde pourrait y participer. C'était par exemple le cas lors de la Shoah. [...]
[...] Ce type de guerre est donc une sorte de réponse, de défense contre la violence, ce qui peut justifier son usage. Pour conclure, même si nous pouvons penser au premier abord que mettre fin aux violences de l'histoire paraît probable, il s'agit d'une entreprise idéaliste, mais aussi difficile à réaliser. En effet, les États se trouvent souvent en compétition et cherchent donc à prouver leur supériorité en exerçant une force sur les autres. De plus, même si nous souhaitons agir dans la non-violence, la propagande, entre autres, pourrait endormir notre esprit critique et ainsi nous faire aller à l'encontre de nos valeurs. [...]
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