Croire, ne pas croire, croyant, croyance, religions
Les religions, qu'elles soient polythéistes ou monothéistes ont accompagné le cours de l'Histoire, en le modifiant parfois. Il arrive que des lieux de culte soient les seuls témoins d'une civilisation à avoir résisté au temps. Ces mêmes religions ont également conduit à des guerres mais aussi des alliances. Encore aujourd'hui elles restent ancrées dans nos sociétés de manière plus ou moins inconsciente.
Dans ce cas, peut-on ne pas croire ? Car il est clair qu'aujourd'hui la religion n'apparaît plus aussi importante qu'avant.
[...] Peut-on ne pas croire ? Les religions, qu'elles soient polythéistes ou monothéistes ont accompagné le cours de l'Histoire, en le modifiant parfois. Il arrive que des lieux de culte soient les seuls témoins d'une civilisation à avoir résisté au temps. Ces mêmes religions ont également conduit à des guerres mais aussi des alliances. Encore aujourd'hui elles restent ancrées dans nos sociétés de manière plus ou moins inconsciente. Dans ce cas, peut-on ne pas croire ? Car il est clair qu'aujourd'hui la religion n'apparaît plus aussi importante qu'avant. [...]
[...] Pour cela il est prêt à sacrifier son fils aux hommes car il est persuadé de leur bonté. Or chez certains non croyants, l'homme est jugé plus négativement, il est méchant et égoïste. Il est donc possible que les non-croyants éprouvent une certaine envie envers cette utopie, qu'ils la trouvent belle et voient leur cynisme au sujet de l'homme et de la vie. La religion apporte ses propres réponses quant au sens de la vie, à l'origine du monde, mais surtout au sujet de la mort. [...]
[...] Dans les religions elle n'est pas une fin mais une simple transition. Or pour les non croyants, la mort est la fin de tout, ils ne retrouveront jamais la personne disparue, sous quelque forme ou quelque endroit que se soit. La séparation causée par la mort est donc définitive. Cette idée effraye depuis toujours les hommes. Les non croyants sont donc seuls face à leur humanité au moment de la mort, sans soutien spirituel ni espoir. Finalement on retrouve une croyance religieuse, populaire ou une nostalgie de la religion dans toutes les sociétés . [...]
[...] La mort est-elle la fin de tout ? Quelle est la source de l'univers ? D'où vient la vie ? La plupart des croyants ont foi en Dieu justement pour tenter de trouver des réponses à ces questions existentielles. Cela permet donc de se rassurer. Mais dès lors le fait de ne pas croire, n'est-ce pas une forme de courage intellectuel ? De se dire que oui, des questions fondamentales restent sans réponse et que notre existence n'a aucun but. [...]
[...] Il s'agit donc d'une croyance en l'incapacité de l'homme. Au travers du libéralisme on retrouve donc cette interrogation : croyance et raison, qui par définition s'opposent, ne peuvent-elle pas se concilier dans certains cas ? Cette théorie libérale se rapproche d'une explication théologique. Si la nature est explicable par la science, c'est qu'elle est rationnelle. Or cette rationalité provient d'un esprit raisonnable, Dieu, qui fait que la vie repose sur un ensemble complexe d'équilibres. Il semble possible de ne pas être croyant mais Comme nous l'avons vu dans la première partie, de nombreux arguments démontrent qu'il et tout à fait possible de ne pas être croyant. [...]
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