Journal, histoire du présent, temps, unités de mesures, angoisses existentielles
Nous nous référons tous par rapport au temps, notre vie est encadrée par les heures, les jours, les mois, les années. Ces unités de mesures nous rappellent à chaque instant le temps qui passe, qui s'écoule tel le sable du sablier, qui nous rapproche inéluctablement de la mort. L'histoire est le résultat de notre conception du temps, elle est rangée et ordonnée dans les manuels scolaires en chapitres, témoin de tout ce qui s'est passé avant le présent, le moment en train d'être vécu.
[...] On s'intéressera désormais aux faits présents, à l'actualité. Ces textes doivent tout de même être lus sans la volonté de saisir le vrai des faits relatés. Ils servaient surtout d'outils pour ces hommes de propagande, de vanter les mérites de telle ou telle personnalité. Ainsi, Tite Live ce grand historien imaginait une guerre entre Alexandre et Rome afin de prouver la supériorité des Romains. C'est au XVIII ème siècle qu'apparait le souci de l'objectivité, la conception qu'un historien n'est d'aucun temps ni d'aucune époque, il y a désormais un souci de relater les frais dans leur réalité, en parlant des grands événements et des grands hommes sans en voiler les défauts. [...]
[...] Ménon de Platon explique la vertu par des parties de cette vertu : chaque témoignage ne relate alors qu'une partie du fait brut et l'on ne peur définir ce fait brut que par un seul témoignage, il y a alors une grande difficulté à retrouver ce fait brut lorsque 2000 ans séparent le chercher du fait et que l'on connait la validité objective de témoignages voulant transmettre non pas la réalité mais une interprétation choisie de la réalité. Par nature, on ne pas se fier aux hommes qui projettent toujours dans leurs écrits ou la parole leurs affinités et de désirs même inconsciemment. Le désordre que voit Platon dans l'Histoire n'est qu'apparent selon Marx et Hegel. [...]
[...] Peut-on considérer le journal comme l'histoire du présent ? Nous nous référons tous par rapport au temps, notre vie est encadrée par les heures, les jours, les mois, les années. Ces unités de mesures nous rappellent à chaque instant le temps qui passe, qui s'écoule tel le sable du sablier, qui nous rapproche inéluctablement de la mort. L'Histoire est le résultat de notre conception du temps, elle rangée et ordonnée dans les manuels scolaires en chapitres, témoin de tout ce qui s'est passé avant le présent, le moment en train d'être vécu. [...]
[...] Marx donne un nouvel élan à la matière, en ne se contentant pas de relater les événements mais en voulant expliquer à la manière d'un scientifique les fondements des phénomènes sociaux. Le peuple et l'économie sont alors la base de ses études. Comprendre les hommes et le système économique permet d'expliquer les événements. C'est la seconde rupture épistémologique. Certains comparent alors l'Histoire à une science. Ce qui est légitime dans les méthodes alors appliquées mais irrecevable si l'on définit la science comme Aristote ou Platon. [...]
[...] De plus, ici sont surtout relatés les faits d'une histoire particulière, singulière, entrant dans le domaine de la psychanalyse. Le journal qui informe, quant à lui, doit être moralisé dans le sens où le journaliste doit être objectif et sans parti pris, dans la morale ici j'entends plutôt qu'il fait un fonctionnement vertueux du journaliste qui doit être intègre, honnête et responsable. Mais la question de la liberté du journaliste est souvent remise en cause par les nombreuses affaires politiques, de corruption. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture