Nous allons aborder ce sujet "Peut-on avoir raison contre les faits ?" en définissant les faits de deux manières distinctes. La première définition est que les faits correspondent à tout ce qui est établi dans une société (que ce soit par le gouvernement, la religion, les mœurs, les croyances …) mais pas spécialement prouvé (principalement scientifiquement : de manière physique ou mathématique …). La seconde définition traduirait les faits comme des règles d'or, des choses sûres qui même si elles sont invérifiables, sont obligatoirement et irrémédiablement vraies.
On en vient donc au problème posé qui est ici de savoir s'il est oui ou non possible de contrer, de s'opposer aux faits, quelle que soit la définition de ces derniers.
[...] Cependant, on sait désormais que la Terre est ronde, ce qui a été prouvé à de nombreuses reprises par de multiples et sûres méthodes mathématiques. Ainsi, si l'on se base sur nos connaissances actuelles, on en conclut que nous avons raison contre le faux fait et qu'il est donc possible d'avoir raison contre les faits. Cependant, si le fait de référence est un avéré (ici, la Terre est ronde), alors il nous est tout à fait impossible de le contrer de quelque manière que ce soit. [...]
[...] Peut-on avoir raison contre les faits ? Nous allons aborder ce sujet de dissertation en définissant les faits de deux manières distinctes. La première définition est que les faits correspondent à tout ce qui est établi dans une société (que ce soit par le gouvernement, la religion, les mœurs, les croyances ) mais pas spécialement prouvé (principalement scientifiquement : de manière physique ou mathématique La seconde définition traduirait les faits comme des règles d'or, des choses sûres qui même si elles sont invérifiables, sont obligatoirement et irrémédiablement vraies. [...]
[...] On obtient donc avec ceci une double réponse au problème et un classement des faits par catégorie de puissances, mais avec obligation de tendre vers une limite qui est dans tous les cas le fait avéré. Cette limite n'est bien sûr souvent jamais atteinte. Enfin, du point de vue judiciaire, les faits ne peuvent jamais être avérés, sans la moindre faille, car ils ne répondent pas à des règles mathématiques si ce n'est aux probabilités. Ce sont donc des faux faits issus de l'interprétation, des observations. [...]
[...] Ce sont des choses établies, des conditions initiales irrévocables. La plupart des objets que nous trouvons dans l'univers évoluent selon des lois mathématiques précises et uniques. Lorsque Galilée a prouvé que la Terre tournait autour du Soleil et qu'elle était ronde, les lois physiques et mathématiques utilisées font figure de preuve absolue et ne peuvent nous laisser penser le contraire (à moins que le physicien se soit trompé dans l'utilisation des règles, mais dans ce cas, il ne s'agit plus d'un fait strictement avéré, ce qui nous ramène à la première partie et la première définition des faits. [...]
[...] Dans ce cas, on peut donc avoir raison contre les faits. Ainsi, deux possibilités semblent s'offrir à nous : On peut dans certains cas avoir raison contre les faits, mais pas tout le temps. Il est donc possible de contrer les faits issus de l'interprétation humaine qui consistent à être améliorés, mais on ne peut trouver de contre-exemples à ceux qui répondent à des lois mathématiques infaillibles. Nous allons donc pouvoir conclure ce travail en trouvant une réponse finale au problème. [...]
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