Politique, philosophie platonicienne, Platon, allégorie de la caverne, justice, Socrate
La politique est avant tout un art. Elle désigne ce qui est relatif à l'organisation ou à l'autogestion d'une cité. L'assise fondamentale de l'état est la justice. Cependant le pouvoir politique repose plus sur le mal que le bien la plupart du temps. C'est dans ces circonstances, et surtout la condamnation de Socrate, que Platon disciple par excellence de ce dernier envisagea de placer la politique au coeur de sa vie. La préoccupation ici est de mettre en évidence la considération sine qua non de la politique chez Platon dans sa recherche permanente de sentiment juste des choses. Autrement dit la manière d'être en quête pour la réalisation de la justice dans la société. L'idée générale qu'on a de la politique est de garantir la cohérence, la solidarité, la justice, l'équilibre en vue de la pratique. Ce qui donne une vision cruelle et sadique de ceux qui en font usage.
[...] Peut-on affirmer que la politique est l'alpha et l'oméga de la philosophie platonicienne ? La politique est avant tout un art. Elle désigne ce qui est relatif à l'organisation ou à l'autogestion d'une cité. L'assise fondamentale de l'état est la justice. Cependant le pouvoir politique repose sur le mal que le bien la plupart du temps. C'est dans ces circonstances et surtout la condamnation de Socrate que Platon disciple par excellence de ce dernier envisagea de placer la politique au cœur de sa vie. [...]
[...] Le présent rapport montre que la philosophie de Platon se tourne vers le monde des idées qui constitue la vraie réalité dont dérivent les phénomènes empiriques ces idées sont absolues, immuables, éternelles et représentent les vrais êtres intelligibles de toute chose du monde Sensible la dialectique devient alors une méthode par laquelle on a recours à ce monde idéal et stables des essences pour ce faire, les philosophes doivent devenir des Rois et inversement les guerriers, quant à eux protègerons l'Etat et les marchands doivent obéir. Ainsi, il est nécessaire que l'harmonie entre les trois ordres à savoir le Gouvernement, les Guerriers et les marchands permette d'accéder à l'idée de justice, de Beau et de Bien. [...]
[...] Derrière ces prisonniers, se trouve un sentier sur lequel passe des hommes allant et venant sans cesse et certains portent des statuettes. Dans cet état, ils ne verront que l'objet situé devant eux. Derrière eux brûle un feu et entre eux le foyer, un chemin bordé d'un mur semblable à des cloisons. Ces prisonniers ne connaissent que l'ombre des choses autrement, ces prisonniers sont dans le monde sensible dans lequel les réalités ne sont pas véritables ce ne sont que des apparences, une ombre, une copie de l'intelligible. [...]
[...] Selon Platon, elle est la vertu maîtresse. Pour mieux cerner l'essence de la justice, on imagine une cité idéale, idéalement juste. En effet, cette cité est composée de trois classes à l'image des trois parties de l'âme. De ce fait, il existe une correspondance entre l'âme et la cité d'où une tripartition tant au niveau de l'âme que dans la cité. Les gouvernants, les guerrier et les citoyens (marchands, paysans, les artisans . La justice réside dans le fait que chaque classe joue sa partition préservant ainsi l'équilibre hiérarchique de la cité. [...]
[...] Socrate mettant en cause cette idée corrompue eut l'idée de le reconstruire ; idée que poursuivra plus tard Platon après la mort de son maître Socrate pour ce faire, eut recours à la méthode dialectique, un mouvement qui suppose d'abord en un premier temps un mouvement ascendant où l'âme s'élève progressivement vers le monde des idées. Dans un second temps l'âme arrivée au monde des idées contemple les réalités d'en haut : un mouvement contemplatif. Au troisième et dernier temps, noté mouvement descendante, l'âme après s'être rassasier des réalités d'en haut effectuera un retour pour venir enseigner maintenant le monde sensible. Qu'est-ce que la justice ? Quel rapport y a-t-il entre la justice et la politique de Platon ? La justice selon le petit robert est la vertu qui inspire le respect du droit d'autrui. [...]
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