Souvent, lorsque l'on interroge une personne dans la rue, sur la définition qu'il pourrait donner de la liberté, il se la représente par l'image d'un oiseau en cage auquel on ouvre discrètement la porte. Cet oiseau est représentatif de la liberté car il peut aller et venir sans avoir de contraintes d'ordre physique puisqu'il n'est pas obliger de marcher donc d'être soumis à la loi de la gravité puisqu'il peut voler. Cependant, cet oiseau, une fois libre, sera soumis à de nouveaux dangers comme par exemple ses principaux prédateurs. De plus, il n'aura pas la joie de prendre des décisions d'ordre politique. Car, en effet, de mémoire d'homme, personne n'a jamais encore surpris un oiseau en train de voter aux élections législatives !
Pour l'homme, cet oiseau n'a pas de liberté « morale ». En revanche il pense aisément que lui en possède une. Du fait de cette faculté supplémentaire il se place (en toute objectivité) au sommet du règne animal. Pourtant on repère une faille dans le raisonnement humain car il se retrouvera parfois en situation de faiblesse face à l'immensité que lui apporte la liberté. Comment l'homme peut-il prendre position au sujet de la liberté ? Comment peut-on ou non vivre sa liberté ?
Pour mettre en relief ce paradoxe, nous développerons d'abord l'idée que dans certains cas la liberté peut susciter une certaine appréhension de la part des individus puis nous verrons ensuite comment et pourquoi la liberté se retrouve souvent au centre d'une certaine fascination humaine (...)
[...] S'il ne peut pas créer librement, il ne peut plus vivre ainsi en aucun cas il n'aura peur de sa liberté de créer, de dénoncer. Il est maintenant nécessaire de nuancer notre propos et ainsi de dire que souvent une personne peut avoir peur de la liberté mais qu'elle peut aussi être fascinée par cette dernière. Nous pouvons ainsi reprendre un de nos exemples en l'analysant de manière tout à fait différente. Il s'agit de l'exemple dans le milieu de l'entreprise, rappelons brièvement de quoi il s'agissait. [...]
[...] La liberté est donc étroitement liée à une sensation exquise de pouvoir absolu mais aussi à une peur quasi perpétuelle. C'est peut-être ce paradoxe qui lui donne sa véritable profondeur et son incroyable richesse qui ne cessera de fasciner l'être humain avant de nombreuses décennies voire même de plusieurs siècles. [...]
[...] Celui-ci pourrait s'enfuir et profiter pleinement de sa liberté qui s'offre à lui. Mais bien souvent celui-ci va rester là en attendant que vous reveniez le chercher ou alors il va faire tout son possible pour retrouver le chemin du retour. Cela montre bien, que l'homme tout comme le chien peut avoir peur d'être libre car d'une certaine manière il se complait dans son univers, certes d'obéissance et de contrainte, qui lui permet pourtant de vivre heureux en toute sérénité. [...]
[...] Peut-on avoir peur d'être libre? Souvent, lorsque l'on interroge une personne dans la rue, sur la définition qu'il pourrait donner de la liberté, il se la représente par l'image d'un oiseau en cage auquel on ouvre discrètement la porte. Cet oiseau est représentatif de la liberté car il peut aller et venir sans avoir de contraintes d'ordre physique puisqu'il n'est pas obliger de marcher donc d'être soumis à la loi de la gravité puisqu'il peut voler. Cependant, cet oiseau, une fois libre, sera soumis à de nouveaux dangers comme par exemple ses principaux prédateurs. [...]
[...] Dans ce cas là, l'individu est en souffrance car le fait qu'il ait peur de la liberté ne veut pas nécessairement dire qu'il ne veut pas être libre. Nous allons maintenant analyser le fait qu'être libre ne doit en aucun cas devenir une peur ou une crainte pour les individus. Ainsi, pour prolonger l'idée précédente qui concernait la souffrance profonde des individus, nous allons pourvoir parler du fait que l'absence de liberté peut faire souffrir. Nous allons donc analyser cette idée grâce à un exemple atypique d'une personne alcoolique. [...]
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