Pensez vous que les villes soient exclusivement des lieux de mal-être ? Dissertation en français niveau lycée. 1 page
Autrefois rurales, aujourd'hui dans tous les pays développés et en voie de développement, les populations sont majoritairement urbaines : elles délaissent les campagnes au profit des villes. C'est cette exode rurale qui amène Ricardo Bofill à s'interroger sur le ressenti des citadins. Les villes sont-elles exclusivement des lieux de mal-être ? Dans quelles mesures peut-on dire que les grandes métropoles sont génératrices de malaise ? Nous verrons tout d'abord qu'elles peuvent être des espaces déprimants mais ensuite qu'elles sont aussi des lieux d'espoir et d'épanouissement.
[...] Les villes sont-elles exclusivement des lieux de mal-être ? Dans quelles mesures peut-on dire que les grandes métropoles sont génératrices de malaise ? Nous verrons tout d'abord qu'elles peuvent être des espaces déprimants mais ensuite qu'elles sont aussi des lieux d'espoir et d'épanouissement. La vie urbaine rime souvent avec déprime et solitude. Tout d'abord c'est les métropoles qu'on observe les plus grandes inégalités. En effet le terme cité désignant autrefois la ville, est aujourd'hui associé à ces regroupements d'habitations à loyer modéré, où s'entassent les plus démunis. [...]
[...] Premièrement, les possibilités de réussite scolaire et dont les perspectives d'avenirs sont plus favorables, pour qui veut s'en donner les moyens. Cette idée est illustrée par les bourses et prêts d'honneurs attribués aux meilleurs élèves issus de milieux défavorisés. Ainsi un élève sérieux d'une cité des Yvelines, aura la possibilité d'intégrer le prestigieux Institut des Sciences Politiques de Paris. Ensuite, la ville est un lieu d'épanouissement et d'échanges. En effet, on croise chaque jour des gens originaires des quatre coins du monde ; quelle belle occasion d'en apprendre plus sur les autres cultures ! [...]
[...] Ainsi les musées, jardins publics, transports en communs et commerces de proximités contribuent à rendre au quotidien la ville urbaine plus agréable. Finalement, s'il est vrai que du fait de l'immensité croissante des métropoles, le mal-être et le sentiment de solitude y sont favorisés, il est aussi vrai que la ville est un lieu d'échange, d'enrichissement et d'épanouissement. Ainsi je pense que l'expérience de la ville diffère selon les attentes et la personnalité de chacun. Néanmoins, une question subsiste : et si le mal-être des villes était dû à l'éloignement de la nature ? [...]
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