La Pensée de Nietzche
[...] C'est presque le surhomme dont parle Nietzsche. C'est le seul vrai chrétien car tous les arcs de Jésus sont d'une grande noblesse. Qu'ils une maîtrise pas. Il ne fait pas de différence entre les gens et ne craint pas de s'opposer aux valeurs du monde juif pour imposer ses propres valeurs. Il s'oppose aux valeurs juives de son temps, aux risques de sa mort et accepte son destin. Nietzsche qualifie Jésus de Saint Anarchique qui lutte contre l'ordre établi. C'est un esprit qui refuse le dogme. [...]
[...] Il va s'interroger sur l'avenir de cette Europe. L'Europe est en pleine décadence, est abâtardie mais, tout espoir n'est pas perdu e une société aristocratique peut renaître en Europe : il subsiste des restes de race forte : Frédéric de Prusse et Nap 1er. Frédéric de Prusse a protégé la liberté individuelle et a su créer un pays fort. Quant à Nap 1er qui a tenté de viriliser l'Europe car il a essayé de lutter contre la Révolution française qui avait instauré l'égalité. [...]
[...] Ces romantiques sont des gens qui passent leur temps à se plaindre et sont des individus aux nerfs malades selon Nietzsche. Wagner est le pire car il a sombré dans le christianisme et, il est le complice de la décadence. L'Angleterre est à l'origine de cette décadence car elle est à l'origine de la morale utilitariste avec Locke, Bentham. Ces philosophes ont imposé une idéologie du Petit bonheur individuel L'Angleterre est la morale de commerçants qui gagnent l'Europe. La France a été longtemps la patrie de l'aristocratie : bonne cuisine, bon goût. [...]
[...] La religion a été ainsi créée. Il faut obéir à certaines règles. Cette logique va dominer le monde occidental : judéo-christianisme Critique du judéo-christianisme a. Critiques de l'esprit juif Il y a une ambiguïté par rapport au judaïsme. - Admiration : envers un peuple qui, depuis des millénaires, souffre par la faute d'autres peuples. Nietzsche va plaindre le peuple juif mais cette plainte est un peu condescendante. Au Moyen Âge, c'est grâce au médecin juif on a pu conserver toutes les valeurs de l'Antiquité gréco- romaine. [...]
[...] Cette aristocratie est perçue par Nietzsche. Il va qualifier cette vision de bonne nouvelle. De cette société aristocratique, va naître : B. Le surhomme Pour Nietzsche, c'est l'élite capable de recréer ses valeurs aristocratiques et les protège contre les + faibles. Ce serait un nouvel état de l'humanité fondé sur un autre complexe : la volonté de puissance. Il dit partout où j'ai trouvé quelque chose de puissant, j'ai trouvé la volonté de puissance C'est la manière dont quelqu'un s'approprie le monde, se manifeste dans l'existence. [...]
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