Ce texte traite de la complémentarité de la justice et la force. La justice consiste à rendre à chacun ce qui lui est dû, elle rend des décisions, tranche des litiges et rend à chaque partie ce qui lui reviens de droit. Contrairement à la force, qui agit uniquement selon son bon plaisir. Pascal se penche ici sur les rapports entre le droit et la force.
Il se demande si le droit est l'expression de la justice et nous fait plutôt penser qu'il n'est qu'une force que l'on tient pour légitime. Afin de nous démontrer que le droit se révèle être la légitimation de la force, Pascal nous montre l'impuissance dans laquelle se trouve la justice de faire valoir ses droits lorsqu'elle ne peut utiliser la force. De son côté la force à aussi besoin de la justice pour faire valoir sa légitimité (...)
[...] Mais la justice devient justice de droit lorsque le droit détient la force. C'est ce que semble dire le texte par une série d'étapes. III] Un compromis ? D'après Pascal, le fait que la justice soit sujette à dispute alors que la force est incontestable, est l'élément principal de sa thèse. En effet prenons deux situations différentes. Si deux hommes sont en confrontation à arme égale, l'un accuse l'autre de l'avoir volé. Dans ce cas on peut faire appelle à une tiers personne qui va régler le problème avec justice. [...]
[...] Ainsi d'après Pascal la justice ne peu être forte. Nous devons donc faire en sorte que la force soit juste. Le droit ne serait qu'une force que l'on tient pour légitime. Ainsi les droits ne sont pas obligatoirement justes puisqu'ils sont régis par la force. La force est juste parce qu'elle l'a décidé ainsi. La justice continue d'être établi par la loi du plus fort et les droits que l'on possède son décidés, contrôler par les plus forts. Rares sont les personnes qui après être sortie de la misère s'occupent d'autres personnes qu'elles mêmes. [...]
[...] Et ainsi, ne pouvant faire que ce qui est juste fût fort, on a fait que ce qui est fort fût juste. Sujet : Texte de Pascal : Pensées Ce texte traite de la complémentarité de la justice et la force. La justice consiste à rendre à chacun ce qui lui est dû, elle rend des décisions, tranche des litiges et rend à chaque partie ce qui lui reviens de droit. Contrairement à la force, qui agit uniquement selon son bon plaisir. Pascal se penche ici sur les rapports entre le droit et la force. [...]
[...] Ainsi peut on dire qu'il y ait réellement une justice ou est ce que la force l'emporte toujours même si elle se fait passer comme des plus juste ? La justice serait une façade, un mirage que le peuple prendrait pour vrai mais dire que la véritable justice est possible serait encore de l'utopie ? Et dans ce cas ce mirage serait il un bien ou un mal pour l'Homme ? En quelque sorte, on se retrouve dans l'allégorie de la caverne. [...]
[...] Mais pourquoi cette nécessité de la force pour les Hommes ? L'Homme serait donc dépendant d'une force extérieure à lui même pour avoir conscience qu'il faut qu'il respecte telles ou telles choses ? Cela vient il d'une pure éducation ou d'autre chose ? II] La force, un outil de la justice pour se faire appliquer Si nous prenons maintenant la justice comme véritablement juste. Par définition il est en effet juste que ce qui est juste soit suivit et si la civilisation humaine régissait selon ce principe, elle s'approcherait dangereusement de l'utopie. [...]
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