Objet du désir, désir, Schopenhauer, besoins primaires, Spinoza, Freud, perversion, décadence, stoïciens, insatisfaction
Le désir est un mouvement qui nous porte vers quelque chose ou quelqu'un. Ainsi, tous les désirs impliquent des tensions qui peuvent nous pousser à agir afin de le satisfaire. Ce désir peut être irréfléchi, illimité et contrairement à la volonté il ne nécessite aucune réflexion, mais la réalisation de l'action.
[...] Enfin, le vrai bonheur réside dans le désir et non pas dans sa satisfaction comme dit plus haut c'est une insatisfaction éternel qui nous cloitre dans la douleur. Ainsi, il serait judicieux de toujours garder le désir insatisfait. Cependant cela nous pousserait à souffrir éternellement. En conclusion, l'objet du désir n'est en soi pas important ce qui compte c'est la tension qu'il y a entre nous et le désir. Ainsi, nos désir sont égoïste, et peuvent dépendre de notre conscience. La volonté exerce une censure ou une aide à la réalisation de ces désirs. [...]
[...] Quel est l'objet du désir ? Le désir est un mouvement qui nous porte vers quelque chose ou quelqu'un. Ainsi, tous les désirs implique des tensions qui peuvent nous pousser à agir afin de le satisfaire. Ce désir peut être irréflechie, illimité et contrairement à la volonté il ne nécessite aucune réflexion mais la réalisation de l'action. Mais le désir n'est-il pas caractérisé par la recherche d'une réelle satisfaction ou n'est-il pas manque et privation ? ainsi nous pouvons à travers ce problème nous demander de quoi le désir est-il désir. [...]
[...] Ensuite, le désir est contraire de volonté. La volonté c'est le pouvoir de se déterminer à agir en fonction de différents motifs. Cette volonté permet de prendre une distance avec son désir, ainsi, elle peut supprimer, accepter ou s'opposer aux désirs. Le désir ne dépend de rien tandis que la volonté dépend de la raison. Pour solutionner le désir, les épicuriens recommande de limiter ses désirs afin d'atteindre l'aponie soit l'absence de douleur et l'ataraxie appelée aussi paix de l'âme. [...]
[...] Mais, l'homme n'est pas maitre de l'objet de son désir. Comme nous le rappel Freud, nous sommes sujet aux pulsions de notre inconscient. L'homme n'est pas maître de son désir ces pulsions qui le guident sont parfois contraires aux principes. Pour s'en libérer il peut choisir de se donner la mort ou d'exprimer ses désir via le principe de sublimation. Principe qui consiste à exprimer ses désirs via des activités socialement valorisées comme l'art. ce principe lui permet de devenir acteur du monde qui l'entoure. [...]
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