Notre rapport à la vérité peut-il se passer de croyances, rationalité, paradoxe, foi, Descartes, Socrate, scepticisme, Méditations métaphysiques, religion, crédulité, Platon, savoir
Dans l'Annonciation de Botticelli, l'archange Gabriel vient annoncer à la Vierge Marie qu'elle a été choisie pour donner naissance au fils du Christ. La représentation est centrée sur la réaction de Marie. Elle a un mouvement de recul et pourtant elle accepte d'y croire, ce qui donne d'autant plus de valeur à son acte de foi. Il y a ici une vérité miraculeuse qui échappe à toute justification ou toute preuve et qui ne peut passer que par la foi.
[...] Le véritable savoir étant très rare. Ensuite, ns avons besoin, dole cadre meêm du rationalisme, de croire en la vérité et en la Corrigé de la disserta°: Vérité et croyances rasons elle-meêm comme une faculté qui mérité d'être exercée et dvlpée. Cela montre que la croyance joue ds le rationalisme lui-même un rôle très contradictoire. D'1 coté la raison nous oses à limiter voire à supprimer les croyances mais d'1 autre côté la raison doit laisser la place à la croyance lorsqu'elle rencontre ces limites et surtout la raison est en elle-même un enjeu de coruyance ds les mesure où elle est une faculté dt l'efficaceté et la portée ne vont jms complétmeent de soi. [...]
[...] Tt le pb est que ce projet rationaliste a d'abord pour résultat de montrer à quel pt notre rapport à la vérité est structuré de part en part par des croyances. Surtout le rationalisme mène ici directement au doute et à la tenta° du scepticisme. Certes, Descartes, au début de la 2è Médita° dégage l'évidence absolue du cogito et grâce aux preuves de l'existence de Dieu, il rétablir l'existence du monde extérieur mais pour tt le reste, pour le contenu de notre exp et de notre existence, il est évident que ns devons en permanence ns en remettre soit à des croyances soit à des opinions. [...]
[...] C'est tte l'ambivalence de la croyance. Elle est liée à notre besoin de vérité. Elle vise la vérité mais le + svt elle le satisfait trop bon compte trop facilement et elle nous expose à ts les préjugés et à ttes les manipula°. Dès lors, il faudrait tjrs essayer de dépasser la croyance pour accéder à un véritable savoir et c'est ce que représente Platon, l'image du philosophe qui sort de la caverne pour aller contempler le monde extérieur et le Soleil de la vérité. [...]
[...] Tt le pb est que par défini° la croyance est fragile. Elle ne repose pas sur des preuves. Elle est ≠te du savoir ou de la connaissance qui lui repose sur des justifica°. Le rationalisme nous impose dans bien des domaines de renoncer à la croyance pour lui substituer, soit un véritable savoir, soit au - le doute. Et pourtant, il est évident que nous ne pouvons pas tt connaître, pas tt vérifier. Il est évident aussi qu'avant de savoir, nous devons tjrs commencer par croire. [...]
[...] III- Croire en la vérité Le savoir précédée par la croyance + positivement, cela montre aussi à quel pt le lien entre croyance et vérité est profond. En effet, il ne tient pas slt parce que ns sommes obligés de croire la plupart des choses qui se présentent comme des vérités. + profondément, ns devons croire en la vérité càd commencer par croire que la vérité existe et que ns sommes cap de la trouver, de la connaître. Sans cette croyance initiale en la vérité, aucun savoir ne serait possible. [...]
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