Rousseau, nature humaine, société, Hobbes, état de nature, Schopenhauer, contrat social
En regardant de près la jungle, on pourrait avoir l'impression que l'état de nature est régi par la violence du fort contre le faible, tandis que la société émerge pour contribuer à rendre les humains libres et heureux. Mais Rousseau croyait que les gens à l'état de nature sont gentils et heureux. Dans ce cas, la nature humaine est-elle bonne ou mauvaise ?
[...] C'est maintenant la fin de l'état de nature et la naissance de l'État civilisé. A propos de cette question, Spinoza disait : « Le meilleur État est celui dans lequel les gens vivent en harmonie et dont la législation nationale est protégée de toute attaque . Si le mal prévaut plus dans un pays que dans un autre, alors ce pays est proche ». Dans l'état de nature, quiconque y réside volontairement court constamment le danger de perdre la vie. [...]
[...] Dans ce cas, la nature humaine est-elle bonne ou mauvaise ? Développement L'état de nature est une hypothèse méthodologique qui explique la condition humaine dans un passé lointain. Elle n'a peut-être jamais existé, mais la faune semble être un vestige de cette période (passée). C'est-à-dire la période durant laquelle les humains vivaient comme des animaux. L'état de la nature se caractérise donc par un manque de propriété privée, de langue, de religion, de science et de technologie. Hobbes croyait que l'état de nature était caractérisé par des guerres entre eux. [...]
[...] Si l'on observe le comportement des animaux dans la jungle, on est souvent d'accord avec Hobbes. Par exemple, un lion affamé capture un cerf et ne se soucie jamais de la douleur qu'il cause à sa proie. Au lieu de cela, il appréciait sa proie tout en écrasant douloureusement les os de la biche gémissante. Pour sortir de cet état de violence, l'homme a dû inventer des lois. Il s'agit précisément d'un ensemble de règles de conduite (autorisées et interdites) destinées à protéger les personnes et les biens. Chaque. [...]
[...] Dès lors, tout citoyen est à la fois sujet et législateur, puisqu'il doit respecter les lois auxquelles il participe, confiant son pouvoir de décision au souverain ou à ses représentants. Conclusion En fin de compte, nous pouvons affirmer avec certitude que les hommes sont comme le pensait Schopenhauer, la nature humaine est intrinsèquement mauvaise, tout comme un groupe de porcs-épics : « Réunis en étroite collaboration, utilisant leur propre chaleur pour résister au froid. Ils sentirent immédiatement l'attaque de la plume. Cela les maintient à distance les uns des autres ». Il est difficile de vivre ensemble en société sans interférer les uns avec les autres. [...]
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