Lumières : mouvement philosophique européen du XVIIIe siècle.
Métaphore des lumières : mouvement intellectuel qui possède ses racines dans l'humanisme et le libertinage. C'est la floraison de nouvelles idées qui se propagent dans toute l'Europe.
Au XVIIIe siècle : savants, artistes et écrivains veulent éclairer le peuple par la raison : lutter contre les préjugés, les superstitions et les anciennes croyances absurdes, mettent en avant la présence de la science la raison).
Descartes : refus de l'usage dogmatique (principes et concepts religieux considérés comme des vérités incontestables) de l'autorité et n'admet aux sciences que la raison (...)
[...] L'auteur insiste également sur l'incapacité morale de la famille à commettre de tels actes. Les modalisateurs présents dans le texte tel que : étrangler, combat, cris affreux, coups réitérés, meurtrissures, habits déchirés ( témoignent de la passion de l'auteur à défendre cette cause. ( Voltaire défend la liberté de la religion et remet en question la qualité de la justice. Les différents moyens littéraires de la critique Les philosophes des Lumières ont beaucoup utilisé de moyens de diffusions pour exprimer leurs idées, et les causes qu'ils défendent : - La Presse (journaux locaux) - Les lettres - Œuvres, tableaux, sculptures (Nave Nave Mahana = jours délicieux de GAUGIN Paul) Les auteurs du siècle des Lumières utilisent les moyens littéraires tels que : - dispositif épistolaire (Lettres Persanes, de Montesquieu lettre 24) - dialogue philosophique (Supplément au Voyage de Bougainville, Diderot) - essai - apologue (Candide, de Voltaire) - pamphlet (L'affaire Calas, de Voltaire) - théâtre - encyclopédie, dictionnaire (L'Encyclopédie des Lumières) Les Lumières critiquent indirectement avec l'utilisation de l'ironie et il y a une complicité entre l'auteur et le lecteur. [...]
[...] Elle fait donc mal son travail et Voltaire dénonce cette incompétence. - fallait, dans Athènes, cinquante voix au-delà de la moitié pour oser prononcer un jugement de mort. Qu'en résulte-t-il ? [ ] Les grecs étaient plus humains et plus sages que nous. Voltaire utilise la comparaison entre les différentes sociétés qui existent : il dénigre la nôtre en gratifiant celle des grecs. - Comment Lavaisse serait il venu exprès de Bordeaux pour étrangler son ami dont il ignorait la conversion prétendue ? [...]
[...] Elle finie par 35 volumes et plus de 3000 planches. II. Les combats des Lumières : Traité sur la tolérance, chap I (1763) Voltaire Un combat des Lumières, pour la tolérance et contre l'injustice : Tolérance : le fait de respecter la liberté d'autrui en matière de religion, d'opinion philosophique, politique. Injustice : jugement contraire à la justice - de nombreux meurtres sont commis dans la société et les assassins sont désignés à tord (exemple de l'affaire Calas, Sirven, La Barre). [...]
[...] C'est le libraire André François Le Breton qui a lancé l'idée en voulant traduire la Cyclopaedia de l'anglais Ephraïm Chambers. Après plusieurs échecs, il demande à Diderot et d'Alembert de prendre le relais. Le projet s'élargit énormément : ce n'était plus une simple traduction de la Cyclopaedia. Le premier titre de l'Encyclopédie est : l'Encyclopédie ou dictionnaire raisonnée des arts, des sciences et des métiers. La publication a été autorisée par le Roi et André François Le Breton rassemble les premiers capitaux. [...]
[...] Tout est faux selon eux. Le Roi interdit donc la publication de la suite de l'Encyclopédie. Voltaire s'inquiète alors et persuade d'Alembert d'arrêter le projet, mais Diderot poursuit seul l'entreprise. En 1772, l'Encyclopédie est achevée, mais les planches ont été distribuées clandestinement. Le Breton lui-même censure les articles présents dans sa librairie pour ne pas avoir de problème avec la justice. Moultes connaissances sont présentes dans ce livre et ont pour but de mettre en valeur les erreurs de la société de l'Ancien régime. [...]
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