Dans Le dernier jour d'un condamné, Victor Hugo raconte l'histoire d'un homme condamné à mort. D'abord, il nous expose son jugement, son procès. Puis, le prisonnier est emmené à Bicêtre, la prison où il vivra ses derniers jours. Hugo nous raconte donc comment le condamné vit son emprisonnement.
Ensuite il raconte la vie du prisonnier après sa condamnation jusqu'à la peine de mort. Il explique comment le prisonnier vit avec l'idée de mort en permanence. En effet, il évoque le fait que pour lui, le plus difficile est d'attendre la mort. Le condamné ne sait pas quand celle-ci viendra le prendre. De plus, ici, la mort est considérée comme un problème puisque le condamné est confronté à la mort. Il ne peut pas l'éviter (...)
[...] Et lorsque la mort est là alors nous ne sommes plus. La mort n'existe donc ni pour les vivants, ni pour les morts puisque pour les uns elle n'est pas, et que les autres ne sont plus Par la suite, il évoque la notion de sage Selon Epicure, le sage est un homme qui ne maudit pas la vie, il l'accepte telle qu'elle et accepte aussi le fait qu'elle est une fin. En effet, l'extrait suivant illustre bien l'argument d'Epicure : le sage ne craint pas la mort, la vie ne lui est pas un fardeau, et il ne croit pas que ce soit un mal de ne plus exister De même, il explique que ce n'est pas le temps que dure la vie qui est plus important mais la manière dont elle est vécue. [...]
[...] Certes le condamné ne sait pas quand la mort viendra le prendre cependant il est sûr de mourir. Cette solution permettrait ainsi au condamné d'échapper à la vie et à toutes les difficultés qu'elle comporte. Ensuite, on remarque que cette œuvre répond bien à ma problématique car, d'une part, le personnage est condamné à mort et, d'autre part, il aurait pu être inculpé d'une peine moins lourde. On peut donc dire que la peine de mort est une solution pour la justice. Enfin, tout au long du roman, la problématique n'évolue pas. [...]
[...] Réponse à la problématique : Dans Le dernier jour d'un condamné, la peine de mort peut être considérée comme une solution face au crime que le condamné a commis. En effet, le personnage est condamné à mort. Son jugement pourrait constituer la résolution de son histoire. De plus, le condamné aurait pu être inculpé d'une peine moins lourde comme la réclusion à perpétuité par exemple. Enfin, la peine de mort pourrait être une solution pour la justice. C'est pourquoi, on peut dire que cette œuvre illustre bien ma problématique. Evolution de la problématique : Dans l'incipit du dernier jour d'un condamné de V. [...]
[...] Enfin, dans le roman de Victor Hugo, la mort peut être illustré de deux façons différentes : d'une part de manière accidentelle et d'autre part comme une solution. D'une part, le condamné est confronté à la mort : il sait qu'il va mourir et il ne peut rien faire. On peut donc dire qu'ici la mort constitue un problème. Le personnage est confronté à son destin : il ne peut pas l'éviter. D'autre part, la peine de mort pourrait être une solution pour la justice. [...]
[...] C'est sottise de s'affliger parce qu'on attend la mort, puisque c'est quelque chose qui, une fois venu, ne fait pas de mal. Ainsi donc, le plus effroyable de tous les maux, la mort, n'est rien pour nous, puisque tant que nous vivons, la mort n'existe pas. Et lorsque la mort est là, alors, nous ne sommes plus. La mort n'existe donc ni pour les vivants, ni pour les morts puisque pour les uns elle n'est pas, et que les autres ne sont plus. [...]
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