morale, certitude, Kant, conscience, sotériologique, instinct, bonheur, Arendt
La morale vient du latin mores, qui signifie mœurs. La morale est un ensemble de principes de jugement, de règles de conduite relatives au bien et au mal, de devoirs, de valeurs, , qu'une société se donne et qui s'imposent autant à la conscience individuelle qu'à la conscience collective. Ces principes varient selon la culture, les croyances, les conditions de vie et les besoins de la société.
[...] Cette conscience reconnaît de manière immédiate, elle serait une sorte d'instinct. Cet instinct serait donc présent chez les membres d'une même espèce, instinct universel, présent chez tout le monde. Nous devrions tous être d'accord sur ce qu'il faut faire ou pas, sur ce qui est moral ou immoral. Dans le but qu'il n'y ait pas d'erreurs morales possibles. La morale, dans son sens général, semble donc universelle. Mais nous allons voir que la morale n'est en fait pas universelle, il existe donc des incertitudes morales. [...]
[...] S'il n'y avait des certitudes en morale, elle serait universelle. Seulement, la morale s'impose à la conscience individuelle, même si elle connaît des points communs chez l'ensemble des individus. Finalement selon la vision de Kant et celle d'Arendt, agir moralement c'est agir par soi- même pour le bien de soi et autrui sans intérêt personnel . Il n'y a donc pas de certitude en morale puisque chacun n'agit pas de la même sorte. Finalement, en morale il n'y a donc pas de certitudes. [...]
[...] En morale, y a-t-il des certitudes ? La morale vient du latin mores, qui signifie mœurs. La morale est un ensemble de principes de jugement, de règles de conduite relatives au bien et au mal, de devoirs, de valeurs, qu'une société se donne et qui s'imposent autant à la conscience individuelle qu'à la conscience collective. Ces principes varient selon la culture, les croyances, les conditions de vie et les besoins de la société. De plus, une certitude serait un caractère de ce qui est certain, qui ne compose pas de doute. [...]
[...] La morale religieuse implique d'admettre purement et simplement certaines croyances qu'il faut donc croire. Ces croyances vont par la suite inculquer une morale. Encore une fois tout le monde n'a pas la même croyance. Une croyance est personnelle et non collective, de ce fait là. Il y a encore cette fois-ci une incertitude morale. La morale religieuse consiste peut-être bien à remplir ses devoirs par respect par la religion en fonction de sa foi, mais cela n'indique nullement ce qu'il faut effectivement faire. [...]
[...] La loi morale, c'est la loi de la raison, et la raison n'est pas une instance étrangère. Se conduire de manière morale, c'est sacrifié son désir, son bien-être. Il y a donc une contradiction entre morale et bonheur. L'Éthique à Nicomaque montre que nous désirons tous être heureux, mais on ne sait pas comment faire. On peut donc passer à côté du bonheur, car celui-ci n'est pas certain. Le bonheur, c'est un choix immédiat et dangereux. La morale est plus claire que le bonheur, on ne peut pas trancher avec la morale, elle est bonne ou non. [...]
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