Dissertation avec introduction et plan rédigé et conclusion sur le sujet suivant : le monde peut-il n'être pour l'Homme qu'un spectacle ?
[...] William Shakespeare a écrit « La vie est un spectacle, autant faire sa propre mise en scène. ». L'auteur anglais compare ainsi la vie humaine à un spectacle. Il met en avant la liberté qu'à tout être humain de faire des choix, de prendre des décisions. Chaque être humain peut écrire le scénario de sa propre vie, afin de la mener comme il l'entend. Le monde serait pour l'Homme un spectacle. Le monde englobe à la fois la Terre et les astres. Il convient cependant dans cette étude de voir le terme plus largement. [...]
[...] Le spectacle englobe ainsi le théâtre, le cinéma mais aussi les faits et gestes de l'Homme lui-même. Il ferait intervenir autrui. Au cours d'un spectacle, il y a donc deux catégories de personnes : des acteurs et des spectateurs. Mais, peut-on dire que le monde est seulement un spectacle pour l'Homme ? N'y a-t-il pas d'autres éléments qui caractérisent la vie humaine dans le monde ? Tout n'est-il que spectacle ? Ainsi, la question qui se pose en l'espèce est celle de savoir quel éventuel rôle jour l'être humain dans la vie, dans sa vie. [...]
[...] Ainsi, c'est la morale qui exige la liberté. Être libre c'est faire des choix en sachant pourquoi on les fait : c'est agir selon le libre arbitre. Des exemples sur le fait d'être spectateur de sa vie : Le procès de Kafka ou l'Étranger de Camus. L'Homme, acteur Un rôle à jouer Le fatalisme (tout est écrit dans le scénario ou dans la vie) s'oppose à la liberté (on n'est pas libre de faire des choix, de prendre des décisions). [...]
[...] Afin de répondre à cette question, il conviendra d'étudier d'une part l'Homme en tant que spectateur et d'autre part l'Homme en tant qu'acteur. L'Homme, spectateur Un regard posé sur autrui Qui est autrui pour moi : un modèle, un danger, un exemple à éviter ? Apparition de sentiments, d'émotions (colère, joie, tristesse etc) or, le modèle de vie épicurien met en avant l'ataraxie (la recherche de l'absence de trouble) L'émotion qui transporte le spectateur est un ravissement d'après Schopenhauer. En effet, dans la contemplation esthétique, le spectateur est « ravi » c'ead comme volé à lui-même, car il échappe à la tyrannie du vouloir-vivre, force de vie. [...]
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