Lorsqu'on ment, on donne comme vrai ce que l'on sait être faux, il y a à la racine de l'acte, l'intention de tromper. Le mensonge peut très bien servir une bonne comme une mauvaise cause. On distingue ainsi trois cas : celui qui ment mais sans le savoir, on parle ici de véracité, celui qui ment en toute conscience dans l'intention de nuire à autrui et enfin celui qui ment dans l'espoir de faire du bien. De manière spontanée, on condamne le mensonge et si le mensonge est condamné c'est avant tout semble-t-il parce qu'il consiste à tromper l'autre, à lui masquer la vérité ou à la transformer (...)
[...] DEVOIR DE PHILO A-t-on le droit de mentir ? Lorsqu'on ment, on donne comme vrai ce que l'on sait être faux, il y a à la racine de l'acte, l'intention de tromper. Le mensonge peut très bien servir une bonne comme une mauvaise cause. On distingue ainsi trois cas : celui qui ment mais sans le savoir, on parle ici de véracité, celui qui ment en toute conscience dans l'intention de nuire à autrui et enfin celui qui ment dans l'espoir de faire du bien. [...]
[...] En conclusion, on doit réfléchir sur les conséquences de nos paroles. On doit toujours privilégier la vérité, et l'adapter en cas de besoin. Le mensonge ne doit être utilisé que dans certains cas extrême. Il faut que l'individu possède la véracité, pour qu'il soit juste envers les autres. Le mensonge est une arme très dangereuse, elle peut servir à manipuler des individus. C'est de cette façon que certaine personne deviennent mythomane, ces gens-la sont rongés par le mensonge et terrorisés par la vérité. [...]
[...] Quelles sont les limites du mensonge ? L'Homme est souvent amené à utiliser le mensonge, non pas pour utiliser l'autre, mais pour une certaine défense pour soi- même ou pour une tierce personne tant au niveau psychologique et moral qu'au niveau physique. La divulgation de vérités peut provoquer un gène, un danger pour les futures relations entre les individus. Notre conscience morale qualifie donc le mensonge comme bien, et la vérité comme mal. Ainsi on est amené à utiliser le mensonge comme un droit légitime. [...]
[...] C'est tout le contrat entre les hommes qui s'effondrera. Ainsi, lorsqu'une mère veut cacher l'existence du père à son fils, elle utilise le mensonge pour en quelque sorte supprimer la présence du père au sein de la famille, et surtout au sein de l'enfant. Comment cet enfant acceptera-il, plusieurs années plus tard, l'existence d'un père ? Comment l'enfant réagira-t-il face à sa mère ? Le mensonge apparait ici comme un élément qui peut déstabiliser, détruire psychologiquement l'enfant. C'est aussi le cas par exemple du gouvernement français qui a nié le passage du nuage de Tchernobyl sur le territoire français. [...]
[...] C'est donc face à ce type de personne que l'on peut se rendre compte à quel point le mensonge peut devenir très dangereux. [...]
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