Le méditations métaphysiques de Descartes, commentaire de l'oeuvre
Descartes s'est aperçu que les choses que l'on lui a apprises peuvent être douteuses et incertaines, ils décident dans le but de fonder une science sure de se débarrasser de ses anciennes croyances.
Première méditation : Des choses que l'on peut révoquer en doute
Deuxième Méditation : De la nature de l'esprit humain et qu'il est plus aisé à connaître que le corps.
Troisième Méditation : De Dieu qu'il existe
[...] opinions comme fausses, le malin génie qui s'amuse à tromper DéDé ( pas à le gratter) est une sorte d épouvantail qui chasse les anciennes opinions. En bref : 2 caractéristiques du doute de Dédé : - douter de tout - considérer comme faux ce qui est frappé d'un doute aussi léger soit il [...]
[...] Or, il ne posséderait pas cette idée, lui qui est une substance finie, si elle n'avait pas été mise en lui par une substance extérieure à lui. Cette idée d'infini n'est pas un concept extrait du sensible par opposition au fini mais c'est une idée qui se trouve comme telle dans sa conscience et dont Descartes n'est pas l'auteur. A la preuve de l'idée d'infini Descartes ajoute la preuve de l'idée de perfection. Descartes, si imparfait, a cependant l'idée de perfection. [...]
[...] Il pense d ‘abord à son corps ms il réfute cette hypothèse car le corps ne peut être perçu que par les sens. Ensuite il examine les propriété de son âme, celle- ci pense ce qui conduit à une vérité indubitable et ontologique [...]
[...] Il s'agit pour Descartes d'un dieu garantissant les vérités. Il faut différencier les évidences mathématiques, qui ont besoin d'être fondées, garanties, des vérités métaphysiques qui portent sur l'être et non plus sur des objets. Les évidences mathématiques ont besoin d'êtres garanties par l'évidence ontologique de la Perfection divine. Formule de Descartes un athée ne peut être géomètre car les idées mathématiques aussi claires et distinctes qu'on l'on voudra ont besoin d'être garanties par une vérité ontologique d'un autre ordre : celle du Dieu vérace. [...]
[...] Pour cela Descartes commence par diviser ses pensées en certains genres. Il considérera alors dans lequel de ces genres il y a proprement de la vérité ou de l'erreur. : - idée = images des choses (se représenter un homme, le ciel, un ange ) - volontés ou affection et les jugements = idée+ ajout de quelque chose à cette idée car conception de qqe chose comme le sujet de ‘action de mn esprit ( qd je nie, affirme, veux ou craint ) Les idées, les affections, les volontés, les sensations sont vraies dans la mesure où elles sont à l'intérieur de la chose qui pense, elles témoignent donc de l'existence indubitable de la chose pensante tout la question est de savoir si j'ai le droit de porter un jugement sur les objets qui sont à l'extérieur de moi. [...]
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