Luxure, désir, jouissance, plaisirs, amours physiques, débauche
A l'origine, la Luxure désigne l'expression d'un désir désordonné, d'une jouissance déréglée. Il s'agit de la recherche sans retenue des plaisirs de l'amour physique, des plaisirs sensuels. Une sorte de débauche. La nation de luxure a été considérée comme négatif avec la religion chrétienne, qui a fait d'elle l'un des 7 péchés capitaux avec l'Orgueil, l'Avarice, l'Envie, la Colère, la Luxure, la Paresse, la Gourmandise. En effet, chez les Grecs, la nation de luxure ne fait pas du tout référence à une sanction, dans la mythologie grecque, Aphrodite, est la déesse de la luxure. Elle est vue comme le plaisir de la chair. Par ailleurs, elle connait de nombreuses relations extra-conjugales, notamment avec Arès avec qui elle eut plusieurs enfants et cela ne pose de problèmes. Aujourd'hui, face à la perte de vitesse de la religion, la luxure n'est aujourd'hui plus considérée comme un péché capital, au pire elle fait l'objet de Tabou.
Comment cette notion a évolué dans le temps ? La luxure pose des ambiguïtés : elle est étudié par certains comme un but et une pratique que l'on peut qualifier de normal, alors que pour d'autres, cette dernière pose clairement un problème de morale.
[...] Comment cette notion a évolué dans le temps ? La luxure pose des ambiguïtés : elle est étudié par certains comme un but et une pratique que l'on peut qualifier de normal, alors que pour d'autres, cette dernière pose clairement un problème de morale. Une luxure longtemps non condamnée Comme on l'a vu dans l'introduction, la luxure ne fait pas l'objet de méprise particulière avant la religion chrétienne. Il existait dans la mythologie grecque une déesse de luxure, de même Dionysos qui deviendra Bacchus pour les Romains est l'auteur de nombreuses bacchanales, que l'on pourrait comparer aujourd'hui avec notre œil moderne à des orgies. [...]
[...] Le paradoxe de cette remise en cause Malgré cette condamnation, la luxure a toujours existé. Par exemple au 18ème siècle, elle apparait sous la forme de libertinage, le libertinage se se réduit pas à des pratiques sexuelles volatiles et sans morales même si celui que l'on retient le plus aujourd'hui, le libertinage se manifestait sous une forme artistique. Le libertinage dit « sexuel » se pratiquaient même au sein de la cour, par exemple Marie Antoinette n'hésitaient pas à convier des invités pour quelques parties plaisantes dans le petit Trianon. [...]
[...] Le kâma sûtra est un art d'aimer avant tout entre un homme et une femme, il prodigue des conseils de séduction et pour une vie harmonieuse dans le couple, notamment au travers de positions sexuelles. II] La remise en cause de sa luxure et son paradoxe La remise en cause par la religion chrétienne Avec la religion chrétienne, la luxure change totalement d'aspect, en effet Dans la religion catholique, la luxure entraîne inéluctablement à la perte de soi, ce qui peut conduire à l'Enfer. [...]
[...] La nation de luxure a été considérée comme négatif avec la religion chrétienne, qui a fait d'elle l'un des 7 péchés capitaux avec l'Orgueil, l'Avarice, l'Envie, la Colère, la Luxure, la Paresse, la Gourmandise. En effet, chez les Grecs, la nation de luxure ne fait pas du tout référence à une sanction, dans la mythologie grecque, Aphrodite, est la déesse de la luxure. Elle est vue comme le plaisir de la chair. Par ailleurs, elle connait de nombreuses relations extra-conjugales, notamment avec Arès avec qui elle eut plusieurs enfants et cela ne pose de problèmes. [...]
[...] Même si la religion a tenté de condamner ses pratiques extravagantes, la luxure a toujours existé, en effet la prostitution fait partie des métiers les plus anciens. Les maisons closes, les bars à hôtesse n'ont jamais cessé d'exister. Que ce soit des pierres taillées en pénis, des peintures sur parois, les preuves sont nombreuses pour montrer que le plaisir sexuel était déjà pratiqué au temps des cavernes. Pour conclure, la luxure bien qu'elle été victime de certaines censures n'a jamais cessé d'exister, mais une certaine emprunte de la religion chrétienne est restée, à l'époque grecque on considérait les plaisirs sexuels au même rang que les autres plaisirs, aujourdd'hui quoique les pratiques restent les mêmes, ils semblent qu'il y ait un gêne à parler de sa vie sexuelle, le sexe fait parti des tabous modernes. [...]
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