En annonçant que nous sommes libres, car nous faisons ce que nous voulons, nous savons que cela n'est pas véritablement exact. En effet, toute notre existence est basée sur le respect de différentes contraintes. Toute la difficulté consiste donc à déterminer la relation entre croyance et liberté. Dans un premier temps nous allons tout de même présenter les notions qui sont en jeux.
La liberté tout d'abord, qui consisterait à pouvoir agir selon sa volonté, indépendamment de toute contrainte. A cela est, ici, lié la croyance, qui se définit par une adhérence de l'esprit à une idée qui n'est pas prouvée.
Mais connaissons-nous toutes les limites de la liberté ? Ne surestimons-nous pas notre liberté ? Sommes-nous finalement capables de faire tout ce que l'on suppose ? (...)
[...] Et paradoxalement, pour connaître son amplitude, il faut connaître ses contraintes, puisque c'est en connaissant ses limites que nous allons pouvoir la définir. Ainsi, le niveau de liberté que nous considérons n'est pas, en premier lieu dû à la croyance, mais à l'ignorance. Car c'est l'ignorance des contraintes de la liberté, et donc de sa définition qui nous pousse à la croyance d'une certaine définition de la liberté, car la croyance n'est autres que l'adhérence à une idée non prouvée. [...]
[...] Dans ce cas la liberté n'est pas celle que nous avons créée. Toutefois, notre raisonnement nous a amenés à affirmer que nous ne sommes pas libre et que nos libertés ne sont que croyance. Ainsi, à première vue nous pouvons déterminer exactement nos libertés, et nous pouvons de ce fait être aussi libre que nous ce que nous imaginons ; mais après réflexion, nous pouvons affirmer que nous sommes déterminés, voir destinés, n'ayant alors que la croyance d'avoir des libertés. [...]
[...] Pour les habitants, ces normes ne sont que le résultat d'habitudes et reflète le bonheur. Mais, leur existence a pour conséquence la création de contraintes à notre échelle, puisque chaque individu cherche à être dans la normalité et non dans la marginalité et, de ce fait, il se plie à toutes les normes. Ainsi, un cadre qui souhaite acheter une voiture (déterminisme de consommation) achètera une voiture de gros cylindre. Non pas qu'il en est envie, mais belle et bien qu'il doit suivre le même niveau de consommation que les gens de même classe sociale (ici la société nous pousse donc à un déterminisme dans les choix de notre consommations) Par conséquent, que ce soit notre consommation ou les choix que nous effectuons dans notre consommation. [...]
[...] Tout d'abord, le déterminisme que crée notre inconscient. Selon Freud, chaque cerveau se divise en une partie consciente et une partie inconsciente. Cette dernière est également divisée en deux. L'une des deux parties se nomme le Surmoi est composée de toutes les morales que l'on nous a inculqué durant notre jeunesse et durant notre existence. Cet inconscient va influencer toutes nos actions. Selon elle, nous éviterons de faire telle ou telle chose car selon la morale sue l'on nous a enseigné, nous ne devons pas fonctionner ainsi. [...]
[...] Nous sommes donc aussi libres que nous le croyons. Pourtant, malgré cela, bien des fois nous nous sommes demandé si nous étions libres d'agir ainsi II. Nous ne sommes pas aussi libres que nous le croyons, car nous ne pouvons déterminer exactement l'étendue de notre liberté. Une délimitation exacte des contraintes serait donc la seule façon de savoir si nous sommes aussi libres que nous le croyons. Cependant, la pluralité des contraintes à prendre en compte ne met-elle pas un frein à cette idée ? [...]
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