Le travail est-il un obstacle à la liberté ?

Résumé du document

Le mot travail vient du latin tripalium qui désigne un joug pour les boeufs. Il vient également de tripaliare qui signifie littéralement torturer. Le travail est donc une torture pour l'être humain. Mais est-ce que le travail empêche l'homme de vivre pleinement ? Est-il un obstacle à la liberté à laquelle chaque homme inspire ? Mais la liberté ne passe-t-elle pas justement par l'exercice du travail ? Pour résoudre la problématique, nous verrons dans un premier temps que oui, le travail est un obstacle à la liberté. Puis, dans un deuxième temps nous verrons que si par certains aspects cette perspective est juste, elle ne l'est pas totalement. Et enfin, dans un dernier temps nous verrons que non, le travail n'est pas un obstacle à notre liberté, mais ce par quoi elle est possible (...)

Extraits

[...] Le travail est-il un obstacle à la liberté ? Nous avons tout d'abord vu, qu'autrefois, le travail était réservé aux esclaves et ne donnait aucune liberté. Puis que par certains points, le travail faisait obstacle à la liberté mais que, grâce à certains philosophes nous avons pu prouver le contraire. Et enfin, nous avons vu que le travail permet justement à l'homme d'avoir des libertés adjacentes à son travail. Pour conclure, nous pouvons dire que le travail, autrefois réservé aux esclaves et dont personne ne voulait, est devenu une denrée rare que tout le monde tente de posséder. [...]

[...] C'est à ce moment là qu'on retrouve la liberté. Car si l'homme fait le métier pour lequel il est destiné, il sera épanoui dans son travail, réfrénera son désir et aura conscience de lui-même. Mais aussi, en plus de son travail, l'homme peut avoir des loisirs et c'est grâce aux loisirs que l'homme va retrouver une partie de sa liberté. O peut donc considérer que le travail ne fait pas obstacle à la liberté car l'homme peut trouver de la liberté au sein même de son travail. [...]

[...] Le travail est-il un obstacle à la liberté ? Le mot travail vient du latin tripalium qui désigne un joug pour les bœufs. Il vient également de tripaliare qui signifie littéralement torturer. Le travail est donc une torture pour l'être humain. Mais est-ce que le travail empêche l'homme de vivre pleinement ? est-il un obstacle à la liberté à laquelle chaque homme inspire ? Mais la liberté ne passe-t- elle pas justement par l'exercice du travail ? Pour résoudre la problématique, nous verrons dans un premier temps que oui, le travail est un obstacle à la liberté. [...]

[...] Le travail leur servait à faire pénitence et obtenir le Salut divin. On retrouve dans la Bible : tu travailleras à la sueur de ton front et tu mangeras les fruits de ton travail Le travail leur à donc enlevé en totalité la liberté qu'ils avaient dans le jardin d'Eden. Il en est de même pour les Grecs qui, plu tard, considéraient le travail comme dévalorisant. En effet, celui-ci étant réservé aux esclaves. Le travail n'est pas réservé aux esclaves car il est dévalorisant mais il est dévalorisant car réservé aux esclaves. [...]

[...] Apres le combat des consciences où, celle qui a prouvée son attachement à la vie est devenue esclave, celle-ci se surpasse par le travail et atteint une liberté de conscience que l'autre ne possède pas. Le travail est donc une activité qui se rattache à une nécessité. Mais aussi pénible soit-elle, elle permet à l'homme d'obtenir sa liberté. Toujours selon Hegel, le travail est humanisant par le fait qu'il réfrène nos désirs. Ainsi, si nos désirs sont réfrénés, l'homme peut prendre conscience de soi. [...]