La liberté qu'elle soit civile ou mentale obsède à juste titre l'Homme depuis la nuit des temps. Dans des sociétés de droit telles que les nôtres, la question est bien souvent réduite à tort à son aspect légal. Ainsi pour nous, la liberté dépend de la possibilité de jouir de ses droits civils, or on omet bien souvent les autres libertés (...)
[...] Agir juste pour montrer notre liberté, va fatalement nous forcer a faire des choses illogiques dans cette optique. Conclusion. Nous venons de voir que les philosophes n'étaient pas d'accord sur l'état de liberté des hommes. La liberté est un concept abstrait pour qui n'y a jamais gouté, et celui qui s'est déjà senti libre n'est pas intéressé par de telles questions. Seule l'esclave peut être intéressé par la liberté, l'on désire toujours ce que l'on pas . Avec ce développement, il serait possible d'en venir a ce demander si l'homme est fait pour être libre ? [...]
[...] Quand est-il des ermites qui mendient leur nourriture, sont-ils libres pour autant ? L'argent amenant la culture et la connaissance, un ermite risque de se torturer l'esprit en ressassant le savoir qu'il possède déjà, or seul un exutoire culturel peut amener un semblant de liberté. C'est deux possibilités nous plonge dans une antinomie. Nous allons donc voir les apports de la théorie de Kant. Concept de Kant. A. Solution et morale D'un point de vue factoriel, la causalité semble s'imposer, connaitre ses trouvés les causes et comprendre c'est trouver les conséquences. [...]
[...] Je ne suis vraiment autonome que lorsque je suis moral. Maintenant comment un avocat peut-il défendre le pire criminel avéré s'il suit sa morale et non son intérêt ? Le choix intérêt moral induit par le vœu de liberté n'est pas facile, d'autant plus lorsque nous somme conditionné pour vivre comme les autres. B. Problème de Kant Il est cependant totalement impossible de savoir si l'on est moral, il ne nous est seulement possible de voir si nous sommes conformes au devoir. [...]
[...] Philosophie Peut-on être libre ? La liberté qu'elle soit civile ou mentale obsède à juste titre l'Homme depuis la nuit des temps. Dans des sociétés de droit telles que les nôtres, la question est bien souvent réduite à tort à son aspect légal. Ainsi pour nous, la liberté dépend de la possibilité de jouir de ses droits civils, or on omet bien souvent les autres libertés. Il n'existera jamais une définition pure et parfaite de la liberté. Mais la liberté semble être la faculté d'agir selon sa volonté sans être entravé par le pouvoir d'autrui. [...]
[...] Il y a un déterminisme flagrant qui avilisse l'homme dans sa quête de l'impossible liberté. Mais le paradoxe du déterminisme aie que l'on ne peut pas se rendre compte du déterminisme si on en est prisonnier. D'autre part une fois que l'on s'en est rendu compte, celui-ci n'a plus court, car les conséquences induites des causes peuvent être facilement modifiées. La liberté serait donc la capacité de l'homme à modifier les conséquences induites des causes. Mais même si l'homme parvient à modifier les conséquences, il demeurera toujours prisonnier des causes. [...]
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