La liberté telle quelle est décrite dans la Déclaration des droits de l'homme est un droit immuable. Pour cette même déclaration, les hommes naissent égaux en droits. Cependant l'histoire ainsi que le présent peuvent nous amener à nous demander, si et en quoi la liberté est-elle la plus haute des valeurs. Par quoi la liberté est définie ? Quelles sont ses limites ? Est-elle la même pour tous ? La liberté n'est elle pas une notion propre à chacun ?"
[...] La liberté est-elle la plus haute des valeurs ? La liberté telle quelle est décrite dans la Déclaration des droits de l'homme est un droit immuable. Pour cette même déclaration les hommes naissent égaux en droits. Cependant l'histoire ainsi que le présent peuvent nous amener à nous demander, si et en quoi la liberté est-elle la plus haute des valeurs. Par quoi la liberté est définie ? Quelles sont ses limites ? Est-elle la même pour tous ? La liberté n'est-elle pas une notion propre à chacun ? [...]
[...] A l'époque, ces hommes ont choisi de vivre librement. On en déduit que la liberté n'est pas la plus haute des valeurs pour tout le monde et qu'elle a ses limites. Pour conclure nous pouvons dire que la liberté est la plus haute des valeurs pour ceux qui sont prés à la défendre et à l'assumer. Mais pour les autres, la liberté ne vaut pas le prix de la vie. De plus la liberté totale n'existe pas, elle se limite où les lois naturelles l'ont délimité. [...]
[...] La liberté est donc le premier bien de l'homme. Elle désigne d'abord un droit sur soi-même : être libre ce n'est pas être esclave, c'est ne pas être soumis à autrui. Ainsi, lorsqu'on est contraint, forcé à agir autrement qu'on ne le voudrait, on considère qu'autrui bafoue notre liberté. Puisque l'homme appartient à lui-même, n'est pas une chose, le respecter relève donc de l'obligation morale. C'est pour cela que dans l'histoire, des hommes se sont battus pour que cette liberté soit acquise. [...]
[...] En effet pour certains la liberté n'est pas la plus haute des valeurs et à ses limites. Tout d'abord la liberté a ses limites puisqu'elle ne peut exister sans contraintes. La liberté se présente comme un pouvoir de faire. Mais ce pouvoir se présente dans des limites déterminées : mon corps ne me permet pas de courir plus vite par exemple. De même je ne peux arrêter de manger ou respirer si je souhaite continuer à vivre. Sans corps, je ne pourrais pas courir du tout et un corps non nourri ne peut fonctionner. [...]
Source aux normes APA
Pour votre bibliographieLecture en ligne
avec notre liseuse dédiée !Contenu vérifié
par notre comité de lecture