Liberté, Hobbes, DDHC Déclarations des Droits de l'Homme et du Citoyen, Sartre, état d'une personne libre, indépendance, Rousseau, Du contrat social
La liberté se définit comme l'état d'une personne libre, non contrainte ayant la possibilité d'agir selon ses propres choix et sans être liée par un engagement. En outre, la liberté est le droit d'agir et de vouloir, elle varie selon les moyens (physiques, financiers) des individus. La liberté est une indépendance, être libre, c'est avoir le pouvoir de faire ce que l'on veut tant que cela ne nuit pas à autrui. Ici, le terme "est-elle" est utilisé dans le sens : la liberté se comporte-t-elle de manière à ce qu'on la haïsse ? Devons-nous haïr la liberté ? Enfin, haïssable, signifie quelque chose de méprisable, en l'occurrence ici la liberté pourrait mériter de la haine notamment à propos de son pouvoir et de son comportement.
[...] Nous pouvons donc dire que l'homme et la liberté ne font qu'un. Pour conclure, dans cette dissertation, nous aurons vu tout d'abord que l'homme était au début de sa vie, mais également au cours de sa vie forcément liée avec la liberté. De plus, que cette liberté faisait de lui qu'il était homme et lui permettait beaucoup de privilèges. Dans un second temps, nous avons vu que la liberté liée à l'homme pouvait être à l'encontre de ce que l'on avait démontré dans la première analyse. [...]
[...] La liberté est donc une forme de la nécessité. Par cela, nous pouvons donc bien retenir que la liberté n'est qu'utopie, car celle-ci n'est bâtie que sur des lois. Ensuite, si nous reprenons la liberté qui est un état qui permet aux hommes de décider librement des choix qui vont arriver ou qu'ils vont se réaliser au cours de leurs vies. Cependant, l'être humain sera soumis à de nombreuses contraintes qui pèseront sur sa liberté et qu'il lui sera difficile, voire impossible, de surmonter totalement de sa propre initiative, voire même, de son incapacité à les surmonter. [...]
[...] De plus, ces hommes sont liés éternellement à leurs libertés et ils doivent avancer dans la vie tout en se consacrant aux avantages de ces libertés. Néanmoins, il nous faut encore avancer dans notre réflexion. En effet, nous allons traiter le second cas qui rappelons le, énonçait que la liberté pouvait être, contrairement à notre première analyse, source de conflits et de dangers personnels ou collectifs et que la liberté n'est qu'un idéal. II. La liberté n'est que tromperie Tout d'abord, nous allons voir que la liberté n'est pas libre en elle-même. [...]
[...] En effet, les libertés que possède l'homme sont en grands nombres et touchent tous les besoins des hommes. Ainsi, l'homme possède principalement deux libertés publiques qui sont : la liberté individuelle et la liberté collective. Tout d'abord, la liberté individuelle est une liberté que chacun peut exercer séparément d'autres citoyens, en d'autres termes ces libertés ne concernent que l'intérêt personnel et ne touche en aucun cas atteinte aux libertés des autres individus. Nous retrouvons un grand nombre de libertés individuelles comme les libertés d'expressions, de pensée, d'opinion, de circulation et de conscience ainsi que de l'économie, de l'intimité et de l'enseignement. [...]
[...] Dans un second temps, nous nous occuperons de la liberté et nous verrons que celle-ci n'est que tromperie. Puis pour clôturer notre développement, nous verrons que l'homme et la liberté ne font qu'un. I. Les liens qui existe entre les hommes et la liberté Tout d'abord, la liberté est innée, car tous les hommes naissent libres et égaux. En effet, d'après la première phrase de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen « Tous les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droit ». [...]
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