De la liberté des Anciens comparée a celle des Modernes - Benjamin Constant - publié le 24/05/2009

Résumé du document

Commentaire de De la liberté des Anciens comparée a celle des Modernes - Benjamin Constant



Dans le sixième chapitre de ce livre, intitulé « À propos des conditions de la propriété », on parle des certaines droits de la propriété obtenus soit par la naissance, soit par immigration qui sont inscrits dans la constitution. La Constitution ne mentionne rien sur les biens nécessaires à l'exercice des droits politiques parce que ces droits, qui sont confiées aux collèges électoraux sont dans les mains des personnes des propriétés. Aucun peuple n'a pas considéré comme des membres de l'État tous les individus vivant sur son territoire. Il ya donc un principe selon lequel les individus d'une réunification du territoire dans la fonction duquel certains sont membres de l'État et d'autres pas. Ce principe stipule que, pour être membre, vous devez avoir un certain degré d'ouverture et d'intérêt commun avec les autres. Ceux qui n'ont pas l'âge légal sont considérés comme ne possédant pas ce degré de sagesse, et les étrangers comme se conduire par un intérêt commun.

Extraits

[...] De la liberté des Anciens comparée a celle des Modernes» est un de plus connu texte de Benjamin Constant et, à l'origine, il est une conférence tenue à l'Athénée Régal de Paris en 1819. Ce texte est considéré l'un des fondateurs du libéralisme classique. Constant parle de deux types de liberté : la liberté des antiques (l'exercice collectif de la souveraineté et direct comme) et la liberté des modernes qui peut être décrit comme le droit de ne pas être soumis à la loi, de ne pas être arrêté, détenu, condamné, maltraité de l'arbitraire d'un ou de plusieurs personnes. [...]

[...] Ne pas écouter ce qui ne pouvait pas être entendu de changer quoi que ce soit. Les orateurs se succèdent sans se rencontrer. L'inconvénient de ce débat, composé de discours écrit n'est le seule ni le plus redouté. Ce qui menace l'ordre et la liberté n'est pas une exagération ou une erreur, ou l'ignorance, mais le besoin d'impressionner. Il est encore plus dangereux parce qu'il son origine dans une création sociale. Les ministres discuteront les décrets pour l'administration. Ils viennent avec des informations concrètes. L'opposition ne sera pas comprise comme l'hostilité. [...]

[...] Les professions libérales exigent plus que toute autre propriété. Ces professions, comme on les a recommandé, ne compte pas toujours parmi ses avantages ce d'introduire des idées dans le domaine de la vérité que de sens pratique si nécessaire pour pouvoir être capable de prononcer les véritables intérêts du peuple. Toutes les activités intellectuelles sont sans doute honorables, tous doivent être respectés. Notre particularité est la pensée. Toute utilisation, il convient de faire stimmé. Toute insulte ou rejette abandonne l'homme. [...]

[...] Toutefois, les réunions ne permettront pas d'atteindre le degré de perfection. Quand les ministres sont membres des réunions, ils peuvent facilement être attaqués s'ils sont coupables, parce que, sans la nécessité de le dénoncer, il suffit de donner une réponse. L'initiative semble être une partie nécessaire de la représentation nationale. On ne peut pas nier les ministres, ils font preuve de la volonté des membres du gouvernement. Normalement, le gouvernement n'arrive pas à exercer le droit de fermer toute initiative. [...]

[...] Seule la propriété assure ce calme et rend les gens capables d'exercer des droits politiques. Les propriétaires ne sont pas en fait que les distributeurs de richesses entre tous les individus et c'est l'avantage de tous que la paix et l'ordre soient propices au développement de toutes les facultés et tous les individus. La propriété industrielle n'a pas beaucoup des avantages de la propriété des terres et de ces avantages sont exactement l'esprit de préservation nécessaire aux associations politiques. La propriété foncière influence le destin de l'homme, par la nature même des activités qui en ont besoin. [...]