Lettre au comte du Devonshire, Hobbes : p80 "l'homme est un dieu à un autre homme et qu'un homme est aussi un loup pour l'homme". Justice et Charité : vertus de la paix . Force et tromperie : vertus de la guerre.
Premiére partie : La Liberté : p89 "facultés de la nature humaine [..] force du corps, l'expérience, la raison et les affections"
P90 les hommes s'assemblent par accident et non pas par disposition naturelle, il recherche l'utilité de d'autres hommes (...)
[...] Les Saintes Ecritures confirment la recherche de la paix et l'abolition de la communauté des biens, ainsi que toutes les autres lois de nature. On ne s'intéresse ici pas à la foi mais aux règles de vie qui rejoignent la loi de nature. THOMAS HOBBES LE CITOYEN ( DE CIVE) 1588- Préface : p70 il n'appartient à pers de s'enquérir si une action sera bonne ou mauvaise hormis à ceux auxquels l'Etat a commis l'interprétation de ses ordonnances P72 Continuelle défiance , même ds un pays ac des lois sévères contre malfaiteur , les bourgeois se promènent armé et verrouillent leur portes . [...]
[...] Lettre au comte du Devonshire , Hobbes : p80 l'homme est un dieu à un autre homme et qu'un homme est aussi un loup pour l'homme . Justice et Charité : vertus de la paix. Force et tromperie : vertus de la guerre . Premiére partie : La Liberté : p89 facultés de la nature humaine [ . ] Force du corps, l'expérience, la raison et les affections P90 les hommes s'assemblent par accident et non pas par disposition naturelle, il recherche l'utilité de d'autres hommes. [...]
[...] P73 la méchanceté n'est d'autre que le défaut de raison en un âge auquel elle a accoutumé de venir aux hommes Hors de ma société civile , Etat de nature guerre de tous contre tous , et que durant cette guerre il y a un droit général de tous sur toutes choses . [...]
[...] P93 origine des plus grandes sociétés, ne vient point d'une réciproque bienveillance que les hommes se portent mais d'une crainte mutuelle [Oenas Sylvius : Il n'y a pas de peste atteignant l'homme qui ne vienne de l'homme] P93 Ce n'est donc pas la nature mais la discipline qui rend l'homme propre à la société P94 La cause de cette crainte mutuelle dépend en partie de l'égalité naturelle de tous les hommes (rapport de force), en partie de la réciproque volonté (désir) de se nuire P98 Chacun a droit de se conserver, il a donc droit d'user de tous les moyens nécessaires à cette fin. Or ces moyens nécessaires sont ceux que chacun estime tels qui le touche. Donc chacun a droit de faire, et de posséder tout ce qu'il jugera nécessaire à sa conservation. Et par conséquent la justice ou l'injustice d'une action dépendent du jugement de celui qui la fait Etat de nature est une guerre perpétuelle car chacun à droit sur tout. [...]
[...] Pacte, une des parties s'engage à l'accomplir dans le futur Là où la liberté cesse, là l'obligation commence Pacte de confiance valable seulement dans la société civile, qui peut contraindre p110 Pacte de non résistance à la mort ou à la blessure est invalide car mieux vaut se défendre que mourir p111 Serment est un discours qui s'ajoute à une promesse, et par lequel celui qui promet proteste qu'il renonce à la miséricorde de Dieu s'il manque à sa parole Valable que s'il craint et reconnaît Dieu. Utilisation ssi la promesse peut être cachée. 2L p113 Loi de garder les conventions Il faut honorer les pactes, sa promesse, ou alors déclarer ouvertement la guerre p114/115 Injure action ou omission, infraction à un accord. Il n'y a injure qu'envers quelqu'un avec qui on a un pacte ou contrat. [...]
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