Bien qu'étant en grande partie désertique, la péninsule arabique a depuis toujours été prisée par diverses civilisations.
Durant la première moitié du XX e siècle, elle a été à la base d'un grand conflit entre Turcs, Arabes et Anglais. Rappelons que l'Empire ottoman entre dans le Première Guerre mondiale aux côtés des Empires centraux (l'Allemagne, l'Autriche-Hongrie et l'Italie), tandis que Juifs et Arabes se rangent du côté des Alliés (France, la Grande-Bretagne et la Russie). Les raisons de ces coalitions sont différentes. En effet, les Juifs espéraient se faire une place en Palestine après le départ des Turcs ; les Arabes eux aspiraient à la liberté pour leurs territoires. C'est ainsi que les Britanniques s'engagent envers le chérif de La Mecque, Hussein Ibn Ali, à soutenir l'indépendance arabe dans un certain nombre de territoires. Dans l'esprit du chérif, la péninsule arabique représentait l'Iraq, la Syrie, la Transjordanie, la Palestine, le Liban et un certain nombre de régions d'Asie mineure. C'est Hussein qui conduisit la révolte arabe contre le pouvoir ottoman en juin 1916 avec l'aide Thomas Edward Lawrence dit Lawrence d'Arabie.
[...] Château Gaillard Sources : Internet Lawrence n'a plus alors qu'une idée en tête. Il confirme son idée alors qu'il arrive à la fin de son voyage au bord de la méditerranée dans une lettre adressée à sa famille: "J'ai senti que j'avais atteint le chemin qui mène à l'Orient mythique la Grèce, Carthage, l'Egypte, la Syrie. Les voilà ! Tous presque à portée de main. Il faudra que je revienne ici et que j'aille encore plus loin." Ainsi, une fois revenu en Angleterre, Lawrence ambitionne de réaliser une thèse sur les châteaux construits par les croisés au Proche-Orient. [...]
[...] À proximité du lieu des recherches, l'Euphrate se profile avec le pont du chemin de fer où les ingénieurs allemands s'attèlent à cette tâche. Londres est régulièrement informé de la progression de l'ouvrage par les chercheurs anglais. Ce projet est une provocation majeure pour l'Empire Britannique. En outre, une voie de chemin de fer en partance d'Alep relit Médine. Ce qui permet à l'Empire Ottoman de déposer plus rapidement leur troupe à la frontière Sud de l'Empire. Cette voie est une fois de plus une menace pour le Canal de Suez ainsi que pour l'Egypte sous le mandat de l'Empire Britannique. [...]
[...] LA GRANDE-BRETAGNE SON HÉROS. THOMAS EDWARD LAWRENCE SOURCES : INTERNET II) LA RÉVOLTE ARABE FAYÇAL IER : Fayçal Ier SOURCES : INTERNET IL EST NÉ À LA MECQUE, EN ARABIE SAOUDITE, EN 1885, IL FIT SES ÉTUDES À CONSTANTINOPLE, IL ÉTAIT LE TROISIÈME FILS D'HUSSEIN IBN ALI, CHÉRIF DE LA MECQUE, PREMIER ROI DU HEDJAZ ET FONDATEUR DE LA DYNASTIE MODERNE DES HACHÉMITES. PENDANT LA PREMIÈRE GUERRE MONDIALE, FAYÇAL COMBATTIT TOUT D'ABORD AU SEIN DE L'ARMÉE TURQUE EN SYRIE, MAIS EN 1916 IL S'ENFUIT À HEDJAZ, OÙ IL REJOIGNIT SON PÈRE ET SES FRÈRES ET PRIT LA TÊTE DE LA RÉVOLTE ARABE CONTRE L'EMPIRE OTTOMAN ENTRE 1916 ET 1918, AIDÉ DE L'AVENTURIER ET ÉCRIVAIN BRITANNIQUE T.E. [...]
[...] Dans une lettre, le président américain s'engage à promouvoir un nouveau processus de paix qui aboutirait à "une résolution définitive et équitable dans le Moyen-Orient". Le Prince Bandar dirigea les négociations qui suivirent. Finalement, le 7 septembre 2001, l'initiative prenait forme et des responsables des deux pays passèrent le week-end du 8 et 9 septembre 2001 à travailler le texte qui allait annoncer une nouvelle phase du processus de paix.Après de longues semaines de diplomatie secrète, le Prince Bandar sentit qu'il méritait bien un jour de congé. [...]
[...] Lawrence à choisir son camp : sa patrie bien aimée l'Angleterre. Il a abusé des idéaux des Arabes et il a abusé de leur confiance pour sauvegarder les intérêts de la Grande-Bretagne. SOURCES ; INTERNET L'Emir Fayçal, plus tard Fayçal Ier d'Irak, à Paris en 1919 durant la conférence de Paix, accompagné de la délégation de la brigade arabe, où on voit notamment au 2e rang à partir de la gauche, Rustum Hayder, le Général de brigade Nuri Saïd (plus tard plusieurs fois Premier Ministre du Royaume d'Irak), le Capitaine français Pisani, le Colonel Lawrence d'Arabie et Tashin Qadri. [...]
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