Toute démocratie est fondée sur des règles bien définies qui sont inscrites dans la loi. Dans ces règles il y a le respect d'autrui, qui est souvent utilisé en premier nom, comme une valeur représentative de tout le système. Ce respect d'autrui se base sur la tolérance, car sans tolérance, il n'y aurait aucun respect. La tolérance est cette « chose » qui nous permet de vivre en société sans s'entretuer tout en continuant d'avoir ses propres idées bien définies. Mais sommes-nous capables de résister à notre franchise ? La tolérance signifie-t-elle tout laisser passer et ne pas réagir devant la pire des imbécilités ? La tolérance est elle-même un paradoxe car elle proclame haut et fort le fait de respecter les pensées des autres, de laisser n'importe qui dire ce qu'il veut en utilisant la liberté comme symbole ; mais cette liberté est, selon la loi, limitée dans ses agissements par le début de celle d'autrui (...)
[...] Puissent tous les hommes se souvenir qu'ils sont frères ! Qu'ils aient en horreur la tyrannie exercée sur les âmes, comme ils ont en exécration le brigandage qui ravit par la force le fruit du travail et de l'industrie paisible ! Si les fléaux de la guerre sont inévitables, ne nous haïssons pas les uns les autres dans le sein de la paix, et employons l'instant de notre existence à bénir également en mille langages divers, depuis Siam jusqu'à la Californie, ta bonté qui nous a donné cet instant. [...]
[...] C'est le problème de la tolérance : réussir, avec des règles, à faire cohabiter des personnes n'ayant rien en commun. Mais une autre règle, bien connue des jeunes, est : toute règle est faite pour être transgressée ; impossible de dire si c'est ce qui motive le racisme, mais en tout cas, la tolérance est invisible dans des cas comme ceux-ci, et il est difficile de savoir qui a raison. Dans le même genre, qui n'a pas vu, un jour, une personne complètement bourrée marcher dans la rue et clamer haut et fort des imbécilités qu'une personne normale ne pense même pas ? [...]
[...] Sujet : Etre tolérant, est-ce laisser tout dire ? Toute démocratie est fondée sur des règles bien définies qui sont inscrites dans la loi. Dans ces règles il y a le respect d'autrui, qui est souvent utilisé en premier nom, comme une valeur représentative de tout le système. Ce respect d'autrui se base sur la tolérance, car sans tolérance, il n'y aurait aucun respect. La tolérance est cette chose qui nous permet de vivre en société sans s'entre-tuer tout en continuant d'avoir ses propres idées bien définies. [...]
[...] La tolérance signifie-t-elle tout laisser passer et ne pas réagir devant la pire des imbécilités ? La tolérance est elle-même un paradoxe car elle proclame haut et fort le fait de respecter les pensées des autres, de laisser n'importe qui dire ce qu'il veut en utilisant la liberté comme symbole ; mais cette liberté est, selon la loi, limitée dans ses agissements par le début de celle d'autrui. Quiconque peut faire ce qu'il veut tant qu'il n'atteint pas la liberté d'un autre : on peut écouter la musique chez soi à fond, tant que cela ne gêne pas le voisin qui veut dormir ; mais ce même voisin doit être tolérant avec son voisin qui veut écouter sa musique à fond. [...]
[...] L'être humain a son caractère, qui lui est bien spécifique. Avec ce caractère, il va développer des goûts, des croyances, des envies qui lui sont propres ; en effet, peu de personnes ont exactement les mêmes goûts ces goûts amènent à des pensées, qui sont également différentes de chaque individu. Ainsi, une personne pourra être tolérante, et une autre absolument pas. Qui ne connais pas une personne gentille avec tout le monde, qui ne dit jamais un mot plus haut que l'autre ; et une personne qui ne va pas se laisser marcher dessus. [...]
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