Socrate va au Pirée (port d'Athènes) avec Glaucon et Adimante pour une fête religieuse en l'honneur de la déesse Bendis, Polémarque les rencontre et les invite chez lui. Chez Polémarque, ils retrouvent Thrasymaque et Céphale. Platon interroge alors Céphale sur la vieillesse. Céphale lui répond qu'il s'agit d'un temps où on est délivré de ses désirs donc on peut être heureux. Socrate lui explique qu'on est heureux uniquement si on a été juste durant sa vie.
Commence alors la discussion sur la Justice entre le groupe d'amis : qu'est-ce qu'être juste ? Est-ce blâmer l'ennemi ? Ne pas faire le Mal ? (...)
[...] Polémarque, un ami de Socrate. Céphale, père de Polémarque. Thrasymaque, frère de polémarque. Lieu : Maison de Céphale Livre I Socrate va au Pirée (port d'Athènes) avec Glaucon et Adimante pour une fête religieuse en l'honneur de la déesse Bendis, Polémarque les rencontrent et les invitent chez lui. Chez Polémarque, ils retrouvent Thrasymaque et Céphale. Platon interroge alors Céphale sur la vieillesse. Céphale lui répond qu'il s'agit d'un temps où on est délivré de ses désirs donc on peut être heureux. [...]
[...] Mais qu'est-ce que le Bien? On définit ce qui s'en rapproche : la vérité et la connaissance. L'Intelligible est le Bien, c'est en quelque sorte un idéal, il s'oppose au monde sensible, c'est-à-dire celui des sens. On a accès à l'Intelligible en dialoguant : la maïeutique (accouchement par la parole) on confronte des idées pour avoir des raisonnements et en tirer des vérités ponctuelles. Il existe quatre états d'âme : l'intellection, la pensée, la croyance et la représentation. Livre VII p358 Allégorie de la caverne. [...]
[...] Lorsque cet enseignement est acquis on passe à la dialectique, l'enseignement suprême, il s'agit de converser avec un maitre pour réfléchir sur différents sujets. Mouvement dialectique ascendant : Intuition Raisonnement hypothéticodéductif Les essences ou idées qui découlent du Bien= le monde intelligible soit l'extérieur de la caverne Définition des concepts Monde sensible, la caverne, l'apparence, l'illusion, la Doxa Livre VIII p401 Il existe plusieurs sortes de cités ; on examine tout d'abord les cités les plus injustes. La timocratie est la cité qui recherche les honneurs. [...]
[...] Les habitants de la cité n'ont pas de possessions et les gardes n'ont pas d'argent. Ainsi les guerriers dépendent directement des artisans pour vivre et doivent les protéger. Livre IV p 214 Adimante intervient : les Hommes ne seront-ils pas malheureux sans possessions ? La cité sera-t-elle donc pauvre ? Et bien, elle sera autonome et sans excès. Les personnages décident de ne pas donner plus de règles à leur Cité car ils ont donnés les bases : les citoyens n'auront qu'a suivre ces bases. [...]
[...] La vie étant courte, donc la justice porte ses fruits après la mort bien plus longtemps que les bienfaits matériels de l'injustice. Anecdote d'une personne revenue des morts : Er qui raconte son histoire : il y a un jugement des âmes, certaines errent sans fin d'autres peuvent se transformer n animaux comme des cygnes, des aigles etc . ou en humain aussi et revenir sur terre lorsqu'on en est digne. En conclusion la justice vaux mieux que l'injustice. [...]
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