- Pour Descartes, la pensée est consciente et pensée. Cette idée va être critiquée par Leibniz dès le 17ème siècle dans sa Théorie des petites perceptions
- Pour Leibniz, quand on est conscient il y a des perceptions dont on n'est pas conscient. La conscience est orientée inconsciemment et n'a que des perceptions grossières. Les détails viennent à nous sans qu'on les remarque (ex de la mer).
- Cette description de l'inconscient va dévaluer le sujet qui ne se maîtrise plus.
- La pensée ne prend pas toujours conscience d'elle-même donc il va y avoir une rectification du cogito.
- Freud était un scientifique, il refusait le statut de philosophe (...)
[...] Les symptômes peuvent réapparaître donc il s'agit de savoir si la psychanalyse peut vraiment guérir ? Constat de Freud : un trou de mémoire conduit à l'apparition de symptômes (signe en grec) qui sont donc un substitut de souvenirs oubliés mais pas perdus. La conscience ne peut les retrouver mais ils sont inscrits dans la pensée. Freud remarque (de plus que Breuer) que plus il s'approche du souvenir utile à la guérison, plus une résistance inconsciente s'opère. C'est pour lui une force nous interdisant de conserver certains souvenirs, présents sous forme d'une résistance. [...]
[...] Il s'agit d'établir des relations entre la vie consciente et inconsciente. L'inconscient n'est pas un défaut de la conscience. Pour Leibniz, l'inconscient est défini de façon privative, avec l'exemple de la vague et de ses perceptions grossières. Notre appréhension doit prendre en compte chacune de ses parties. Pour Freud, l'inconscience n'est pas un défaut de la conscience mais c'est ce qui est refoulé à l'écart de la conscience parce qu'en conflit avec elle. Freud va mettre en place une représentation de la vie psychique comme étant structurée en différents niveaux : les topiques (du grec topos : lieu emplacement). [...]
[...] Peut on faire l'hypothèse d'une pensée inconsciente ? Pour Descartes, la pensée est consciente et pensée. Cette idée va être critiquée par Leibniz dès le 17ème siècle dans sa Théorie des petites perceptions. Pour Leibniz, quand on est conscient il y a des perceptions dont on n'est pas conscient. La conscience est orientée inconsciemment et n'a que des perceptions grossières. Les détails viennent à nous sans qu'on les remarque. (ex de la mer) Cette description de l'inconscient va dévaluer le sujet qui ne se maîtrise plus. [...]
[...] Pour Freud, il ne faut pas se laisser aller devant la société contrairement à Nietzsche qui ne fait que condamner cette puissance en nous. L'inconscient se manifeste sous plusieurs formes : les névroses, les rêves, les actes manqués. Existe-t-il quelque chose de plus fondamentale ? (permettant de ramener les éléments en un seul Le ça : détermine les pulsions déterminant l'individu dès sa naissance. Définition de pulsions : ce qui relève à la fois de la vie psychique et de la vie somatique (soma = corps). [...]
[...] Pour comprendre le psychique, il faut se situer entre le biologique et le psychique= concept limite. Quel est le lien entre nos pulsions et notre corporalité ? Le corps est la source de la pulsion. En quoi la pulsion fait-elle référence au psychisme ? L'excitation corporelle donne naissance à une excitation sensorielle qui va faire la représentation par le psychisme. La pulsion apparaît comme le représentant, le délégué qui va donner ce que Freud appelle la mesure d'exigence, de travail. [...]
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