Journal de bord : Humanités scientifiques

Résumé du document

Comment la brique et le mortier ont permis l'implantation de la puissance romaine

Je suis avec le Bureau des Arts (BDA) des cours d'histoire de l'art. L'art romain était au programme de la séance du mardi 29 septembre. L'étude des méthodes de construction romaines fût pour moi l'occasion d'une réflexion sur le développement de la politique conquérante de Rome. En effet, alors que les Grecs développèrent une architecture de la perfection reposant sur la taille des pierre (activité longue et fastidieuse), les Romains ont bénéficié d'innovations techniques qui ont révolutionné le rôle de l'architecture. Ainsi, l'art de la construction romaine repose sur la recherche de l'efficacité et de la facilité d'exécution. Les deux inventions majeures de l'architecture romaine furent celles du béton et de la brique. Les romains purent alors construire beaucoup et très vite. On comprend alors le rapport entre ces innovations techniques et la nation conquérante romaine (...)

Extraits

[...] L'objet, d'une grande simplicité, se révèle d'une extraordinaire utilité. Il s'agit d'une languette rectangulaire de 5 cm de long et de 0.7 cm de large. Elle est portée en longueur par deux armatures de fil métallique fin et souple, placées sur chaque longueur de la languette. Ces armatures font 5 cm de long et ont un diamètre de l'ordre de 0.2 mm. La surface du rectangle est recouverte d'une couche de plastique souple d'une épaisseur de l'ordre de 0.1 mm. [...]

[...] A further 53 were from dogs, and two fox droppings had been picked up by mistake. Pulling the faeces apart to see what they contained revealed that wolves seem to prefer roe deer, but also ate wild boar, hare and badger. Only one wolf sample had any sign of sheep in it. Dogs, by contrast, ate a lot of sheep: 14 of the dog samples contained the remains of these animals. Both wolves and dogs ate cattle and horses, though in small numbers. [...]

[...] Dans un laboratoire scientifique, la préparation des expériences est laissée au préparateur, le recueillement des observations , travail fastidieux, est laissé aux chercheurs les plus jeunes et l'interprétation érudite aboutissant aux constructions théoriques est réservée aux chercheurs chevronnés et aux directeurs de recherche. Ainsi, dans les journaux, ce sont toujours les directeurs de recherche au CNRS qui s'expriment plutôt que les laborantins, bien qu'ils aient autant que le directeur participé à l'activité expérimentale. Le laboratoire public a cette spécificité qu'il engendre une confusion des rôles. [...]

[...] Son originalité repose sur plusieurs points. D'une part, l'utilisation d'un grand nombre de réseaux différents pour donner l'alerte et informer les citoyens, d'autre part, la superposition des décisions locales et centralisées. Les réseaux de télécommunication sont habituellement indépendants de l'Etat dans leur fonctionnement. Ce sont des réseaux avec un grand nombre de nœuds que sont les opérateurs, les antennes relais, les serveurs Internet, les stations d'émission radios Cependant, l'utilisation d'une technologie satellite permet, en cas d'alerte, aux services de sécurité civile de coordonner tous ces réseaux et d'en prendre la direction pour diffuser des messages d'information. [...]

[...] L'intérêt de cet article et de témoigner de la diversité et de la concurrence des systèmes techniques. En effet, en ce qui concerne les logiciels d'exploitations pour ordinateurs, le système Windows en est au stade final de sa domination, puisque toute l'histoire de la micro-informatique et des logiciels s'est construite autour du système Windows. Cette innovation technique a réussi en s'imposant comme le meilleur système d'exploitation pour ordinateurs. Tous les logiciels qui sortent, contraints par la dépendance au sentier, doivent être développés par rapport au système Microsoft. [...]