Humains, animaux, intelligence, ingéniosité, organisation sociale, Descartes, Rousseau, Skinner
Depuis l'Antiquité, des intellectuels ont remarqué des similitudes rapprochant l'homme de l'animal.
À l'image de nombreuses familles, la mienne aimerait accueillir un chiot. Après avoir visionné plusieurs vidéos, j'ai remarqué qu'il existait une multitude de points communs entre eux et nous comme certains comportements, l'ingéniosité ou encore la faculté de l'intelligence.
[...] En montrant que l'espèce humaine peut subir des conditionnements comportementaux analogues à ceux des animaux. Skinner prive ainsi l'être humain d'une supériorité attribuée par Descartes avec la notion de raison et le dualisme cartésien. De plus, tout être vivant s'accroche à sa survie et son environnement dont l'interaction avec ce dernier influence le comportement. Pour élaborer sa pensée, Skinner s'est donc basé sur des attitudes comportementales observables. Par exemple, si un chien est récompensé pour tel ou tel comportement, il le répétera encore. [...]
[...] Les humains sont fondamentalement différents des animaux ? [Introduction.] Depuis l'Antiquité, des intellectuels ont remarqué des similitudes rapprochant l'homme de l'animal. À l'image de nombreuses familles, la mienne aimerait accueillir un chiot. Après avoir visionné plusieurs vidéos, j'ai remarqué qu'il existait une multitude de points communs entre eux et nous comme certains comportements, l'ingéniosité ou encore la faculté de l'intelligence. Avec le terme « fondamentalement », on évoque des différences profondes à un tel point que les uns et les autres ne pourraient prétendre bénéficier des mêmes droits, de la même reconnaissance. [...]
[...] Cela concerne les animaux. Il s'agit bien entendu de l'instinct biologique et non psychologique. Si Rousseau reconnaît une différence fondamentale entre les hommes et les animaux comme Descartes, à l'opposé de ce dernier, il admet la présence d'une capacité de plaisir et de douleur chez les animaux ainsi qu'une intelligence divergente. Les animaux sont donc des êtres sensibles comme les êtres humains. Selon lui, l'animal est une machine plutôt ingénieuse. Il fait entre autres allusion à la loi du plus fort au sein du monde animal. [...]
[...] Il est un acteur pensant de la communauté. Aussi, dans la pensée de Descartes, les animaux font partie des éléments naturels que les humains ont su domestiquer pour améliorer leur qualité de vie. La pratique de l'élevage illustre ce rapport de domination que l'homme entretient avec l'animal. On peut ainsi considérer que l'homme, en utilisant à son profit les éléments naturels, appartient à la culture et les animaux, à la nature. Descartes illustre une fois de plus la supériorité des hommes par rapport aux animaux. [...]
[...] L'homme, un animal selon Skinner.] Enfin, aux antipodes de Descartes et de Rousseau, Skinner évoque dans sa thèse du behaviorisme que les humains pourraient être semblables aux animaux. Ce qui diffère, c'est juste que les êtres humains possèdent la capacité de vivre dans un environnement plus compliqué, plus sophistiqué. Dans sa pensée, Skinner considère l'homme en tant que conséquence de son milieu, de la société à laquelle il appartient. Il applique à l'humain les théories comportementalistes qui avaient d'abord été formulées à propos des animaux. [...]
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