On définit la croyance par le fait de tenir quelque chose pour vrai, et ceci indépendamment des preuves éventuelles de son existence, réalité, ou possibilité. L'usage de ce terme est double, il peut être le rapport d'un individu à la divinité, la cosmogonie et aux mythes ainsi qu'aux hypothèses relatives à un fait de la vie courante. Il est donc évident que la croyance est un mécanisme psychologique propre à chaque individu.
[...] Ainsi, la science et la société ne peuvent progresser que si les hommes renoncent à leurs croyances irrationnelles. Pour conclure, la confrontation de la croyance et de la raison ne peut être déterminée par une simple opposition d'expériences ou d'idées. Socrate dit : Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien il est conscient de son ignorance et donc de cette citation on comprend que les croyances sont inévitables. Mais aussi, Pythagore dit : La raison est immortelle, tout le reste est mortel ce qui fait que la croyance basée sur des faits doutés n'a aucune existence au niveau de la pensée humaine. [...]
[...] Est-ce que les hommes sont croyants par ignorance ? On définit la croyance par le fait de tenir quelque chose pour vrai, et ceci indépendamment des preuves éventuelles de son existence, réalité, ou possibilité. L'usage de ce terme est double, il peut être le rapport d'un individu à la divinité, la cosmogonie et aux mythes ainsi qu'aux hypothèses relatives à un fait de la vie courante. Il est donc évident que la croyance est un mécanisme psychologique propre à chaque individu. [...]
[...] Il doit donc prendre conscience de sa véritable condition, et admettre qu'il vit dans un milieu qui le dépasse et dont il ne connaît ni l'origine, ni les fins. De cette ignorance face à la nature découle l'ignorance du sens de sa propre vie : ignorant les principes qui font qu'il existe, il ne sait pas la raison de son existence. L'homme est conscient donc que la science n'atteindra pas la réalité, qu'elle restera toujours imparfaite et inachevée, malgré l'apparence de certitude et de précision qu'elle revêt. Ceci va pousser l'homme à imaginer des solutions, et s'attend à leur réalisation. [...]
[...] Depuis que la science physique a expliqué les causes électriques des éclairs et du tonnerre, il est devenu impossible de croire qu'un dieu courroucé envoie sa foudre sur les humains. De la même façon, peut-on raisonnablement penser que le progrès scientifique en fournissant les preuves à une idée. Raisonner n'est plus croire. L'humanité n'a pu progresser qu'en abandonnant les superstitions et les illusions de la religion pour adopter une vision scientifique des choses. La croyance religieuse est le propre d'esprits primitifs. [...]
[...] Cette croyance est donc particulière : il est conscient de croire car il l'a choisie (on trouve donc un acte de volonté). Mais il ne l'a pas choisie d'une façon aléatoire : en effet il ne l'adopte qu'après un examen critique. Ce n'est pas la vraie morale mais c'est la meilleure dans la situation où il se trouve. Cette croyance n'a donc rien à voir avec l'ignorance ou l'illusion. En effet, Descartes est conscient que sa croyance est probable ; il reste loin de l'adopter comme un fait absolu. [...]
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