Homme, humanité, race humaine, xénophobie, être humain, individualisation, collectivisme, valeurs, morale humaine
Le terme d'« Homme », en lui-même, peut avoir plusieurs connotations. Il peut à la fois faire référence à l'humanité, c'est-à-dire aux sentiments, à l'empathie, à la différenciation entre le bien et le mal vis-à-vis des normes de société. Mais il fait aussi référence à la race humaine, et, par conséquent, aux différentes ethnies, cultures, langues, religions, sexualités ou visions du monde. Dire que nous pouvons être totalement étrangers vis-à-vis de nos semblables sous-entend que nous sommes inconnus et que, peut-être, nous nous ne reconnaissons pas mutuellement comme « Homme » ou être humain, malgré nos similitudes vis-à-vis de nos besoins primitifs, ou même du fait que nous vivons sur la même planète.
[...] Il est vrai que personne ne peut nous être totalement étranger, nous aurons toujours des points en commun. Cependant, la sensation que l'on éprouve envers une personne différente et lointaine de nous peut nous laisser penser qu'elle est totalement étrangère à ce que l'on est. En effet, une personne ayant commis des crimes ou ayant commis des choses qui pour nous sortent du commun, va nous paraître véritablement étrangère. Nous pouvons prendre comme exemple une personne ayant commis un génocide, celle-ci pensera que cela est normal d'exterminer cette population. Cependant, pour nous, il est contraire à nos valeurs de commettre ceci, il est impensable que cette personne soit comme nous, il ne peut pas l'être, car il a exterminé une population. Notre esprit va à ce moment mettre de la distance, voire même une barrière pour nous protéger et nous éloigner de cette mentalité, voire de cet individu, ce qui crée l'effet du « totalement ». [...]
[...] Tout ce qui crée cette distance est façonné par la société nous entourant, celle-ci nous laisse une culture des valeurs qui font de nous ce que nous sommes, de là où nous venons nous avons plus ou moins l'esprit ouvert, cette ouverture sur le monde va laisser les gens penser ce qu'ils veulent, la sensation de « totalement étranger » va donc peut-être être moins forte. Mais ATTENTION, cela ne veut pas dire que les gens ne l'ont pas pensé, car les gens trouveront quand même des différences partout où ils vont. Alors qu'une société renfermée sur elle-même (comme une dictature) va plus avoir cette sensation de « totalement étranger », car ils n'ont jamais vraiment fait face au réel, à part leurs idées et valeurs intégrées par leurs dictateurs. Pour conclure, une personne ne peut pas être totalement étrangère car celle-ci aura toujours un petit quelque chose en commun avec nous, car elle reste humaine. Mais l'esprit ainsi que nos valeurs peuvent, eux, voir une personne comme quelqu'un de totalement étranger, même si celui-ci fait partie de notre même race. [...]
[...] Mais il fait aussi référence à la race humaine, et, par conséquent, aux différentes ethnies, cultures, langues, religions, sexualités ou visions du monde. Dire que nous pouvons être totalement étrangers vis-à-vis de nos semblables sous-entend que nous sommes inconnus et que, peut-être, nous nous ne reconnaissons pas mutuellement comme « Homme » ou être humain, malgré nos similitudes vis-à-vis de nos besoins primitifs, ou même du fait que nous vivons sur la même planète. C'est alors que le mot "totalement" crée un problème, peut-on être à cent pour cent étrangers ? [...]
[...] L'« Homme » peut-il m'être totalement étranger ? Le terme d'« Homme », en lui-même, peut avoir plusieurs connotations. Il peut à la fois faire référence à l'humanité, c'est-à-dire aux sentiments, à l'empathie, à la différenciation entre le bien et le mal vis-à-vis des normes de société. [...]
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