Homme, nature, évolution, autorégulation, environnement, cohabitation, écosystèmes naturels, patrimoine, CO2, Club de Rome, terre, vie
Le monde vivant, avant l'arrivée de l'Homme sur Terre, a connu des évolutions qui lui ont permis d'atteindre un degré important d'accroissement et de diversité. Le monde physique est passé, lui aussi, par des transformations gigantesques avec lesquelles, se sont adaptées ou non les espèces vivantes (régressions, transgressions, glaciations, cataclysmes, réchauffements, dérive des continents, intempéries, orogenèse, formation des reliefs, volcanisme, etc.). Tout ce qui permettait la perpétuation et la continuité de la vie était là (photosynthèse, respiration, fermentation, reproduction, cycle de l'eau, cycles de la matière, réactions chimiques, combustion, dégradation, synthèse, énergie, relations trophiques, mutations, etc.). La nature n'a pas attendu l'Homme pour évoluer, se transformer, se métamorphoser, s'exprimer, se renouveler, etc.
[...] Dans le cas de la nature sans l'Homme, toutes les activités autorégulatrices convergent vers l'unité de cette nature. Et même les perturbations et les bouleversements qui peuvent déranger l'équilibre de cette dernière, étant eux-mêmes naturels, sont en fin de compte absorbés par lesdites activités. L'Homme, quant à lui, au lieu de s'identifier à la nature, l'imiter, la copier et la plagier (ici, le plagiat est permis), a inventé la notion d'environnement qu'il conçoit comme la résultante de la cohabitation de ce qui est naturel et ce qui est créé par lui (Culture, croyances, visions, conceptions, représentations, progrès, croissance, économie, développement, inventions, technologies, industries, infrastructures, habitat, établissements humains, etc.) et où il s'est taillé une place prépondérante par rapport aux autres composantes de la nature. [...]
[...] Tout ce que l'on peut dire c'est que l'Homme, en tant qu'être pensant et agissant, ne récolte que ce qu'il a semé. V. Actions environnementales humaines, armes à double tranchant Il est bien évident que l'action ne procède pas du vide. Derrière l'action, il y a la pensée, ou, plus précisément, l'action est engendrée par la pensée. Celle de l'Homme vis-à-vis de l'environnement est tout simplement pernicieuse. Elle lui dicte des actions qui ne prennent en considération que son intérêt personnel. Certes, les retombées positives de ces dernières sont indéniables. Ne pas les reconnaître relève de l'hypocrisie. [...]
[...] L'Homme et la nature, une cohabitation en manque d'harmonie I. La nature sans l'Homme[1] Le monde vivant, avant l'arrivée de l'Homme sur Terre, a connu des évolutions qui lui ont permis d'atteindre un degré important d'accroissement et de diversité. Le monde physique est passé, lui aussi, par des transformations gigantesques avec lesquelles, se sont adaptées ou non les espèces vivantes (Régressions, transgressions, glaciations, cataclysmes, réchauffements, dérive des continents, intempéries, orogenèse, formation des reliefs, volcanisme, etc.) Tout ce qui permettait la perpétuation et la continuité de la vie était là (Photosynthèse, respiration, fermentation, reproduction, cycle de l'eau, cycles de la matière, réactions chimiques, combustion, dégradation, synthèse, énergie, relations trophiques, mutations, etc.). [...]
[...] Leur premier danger réside dans le fait qu'ils ne sont pas absorbés par les systèmes naturels de recyclage de la matière. Ils persistent donc dans la nature pendant plusieurs dizaines d'années. Leur deuxième danger c'est que certains d'entre eux renferment des métaux lourds qui peuvent contaminer (polluer) l'eau, les aliments, l'air, le sol, etc., et, par conséquent, représenter une menace pour la vie humaine, animale et végétale (Déformations, cancers, troubles moteurs, lésions cutanées, troubles de fertilité, fausses couches, insuffisance rénale, ulcères, inflammations, anémie, troubles cardiovasculaires, etc.). [...]
[...] Elle est assurée le plus souvent par des firmes multinationales qui ont envahi toutes les contrées de la planète et qui attirent une clientèle de plus en plus nombreuse. Sans parler de la qualité des repas servis, la restauration rapide répond aux besoins d'une frange de la population qui veut manger à la hâte pour gagner du temps. Aujourd'hui, manger rapidement fait partie du quotidien. C'est tout simplement un stress de plus qui s'ajoute à celui du travail. C'est aussi la rançon de la modernité avec toutes ses implications sur la santé, l'obésité notamment. Mais ce n'est pas tout. La restauration rapide cause aussi des dommages à l'environnement. [...]
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