Selon Edgar Morin, dans son ouvrage intitulé L'homme et la mort, la mort est ce qui différencie l'homme à l'animal. La mort est un phénomène universel, car elle touche tous les vivants. Comme tout être vivant l'homme subit la mort.
[...] I L'imprévisibilité de la mort. Selon Pierre Corneille dans Tite et Bérénice, Chaque instant de la vie est un pas vers la mort Dès sa naissance l'homme marche sur une route incertaine, et est entouré par le mystère, quant au moment de sa destination finale. Malgré une inégalité existante entre les hommes en tout temps et en tout lieu, une égalité certaine existe entre tous face à la mort, car tout être humain sait qu'il n'est pas éternel, et en principe personne ne sait quand et dans quelles conditions sa vie prendra fin. [...]
[...] L'homme et la mort. Selon Edgar Morin, dans son ouvrage intitulé L'homme et la mort la mort est ce qui différencie l'homme à l'animal. La mort est un phénomène universel, car elle touche tous les vivants. Comme tout être vivant l'homme subit la mort. La mort du latin mors, mortis, est la cessation définitive de la vie. Elle est considérée comme un phénomène inhérent à la condition humaine. Dés le commencement de l'humanité, la mort est une réalité incontournable à laquelle chacun est confronté, qu'il s'agisse de la mort de ses proches ou de sa propre mort. [...]
[...] La question qui se pose est la suivante : Qu'est ce que la mort pour l'homme ? Personne n'a jamais pu y répondre, puisque en tout temps, la multitude de culture et religion qui s'offre à l'homme font de chacun un être à part entière, qui a sa propre attitude et explications face à la mort. C'est pourquoi malgré de nombreux ouvrages en la matière, de scientifiques et de philosophes chacun a une conception de la mort. Certains vont approcher la mort par les rites et les cultes, en commençant pas expliquer ce qu'est la vie, le mariage, l'existence, et la fin. [...]
[...] Ce type d'acte pour les raisons sus mentionnées, est appelé le suicide. Le mot suicide est dérivé de sui (soi) et caederes (tuer), et met en évidence l'acte suicidaire en tant que meurtre de soi et en tant que geste conscient. Le terme de «suicidaire» est utilisé dans le sens le plus général. Il s'applique à tous ceux qui ont laissé se former en eux l'idée du suicide, y voyant une possibilité pour résoudre une difficulté de vivre ou pour en finir lorsqu'ils se considéreront comme parvenus à un stade de non-retour. [...]
[...] L'euthanasie, qui vient de euthanos qui signifie la bonne mort peut être définie comme une mort provoquée ou hâtée afin d'abréger les souffrances. L'euthanasie active, définie comme le geste d'un tiers qui donne la mort, est réprimée pénalement, contrairement à l'euthanasie passive, considérées comme le refus d'un acharnement thérapeutique, est quant à lui autorisé sous certaines conditions. Dans l'affaire Humbert, il ne s'agissait pas d'euthanasie passive mais bien d'euthanasie active puisque à la fois la mère et le médecin ne s'étaient pas contentés de mettre un terme à des soins thérapeutiques, mais ils avaient injecté des produits mortels. [...]
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