La culture se définissant par un mode de vie particulier mais surtout partagée par d'autres individus formant ainsi une collectivité culturelle, il en découle naturellement qu'il est donc nécessaire d'avoir plusieurs individus pour former cette culture. Cette notion de partage, de relationnel et de pluralité est le fondement préalable à toute culture. Effectivement, on ne peut pas vraiment parler de culture proprement dite pour un seul et unique individu car comme nous l'avons vu, elle se construit sur des échanges primordiaux et un partage humain nécessaire à la vivacité mais surtout à la survie de la culture. Une culture est donc impossible ou du moins le semble très fortement sans homme. C'est la réunion aboutissant à la formation d'un groupe humain qui donne naissance à la culture, par conséquent il est difficile d'en concevoir une sans être humain. La culture étant le résultat d'un groupement humain, il n'y a donc pas, cela est logique, de culture sans homme !
Mais l'édification de la culture n'est pas suffisante, il faut par la suite la pérenniser. Une fois encore, c'est par l'homme que cela est possible. La culture se construit en prenant appui en quelque sorte, en s'inspirant d'autres cultures. Elle se développe par des échanges interculturels mais peut aussi disparaître au profit d'une autre culture qui a su s'imposer en se nourrissant d'autres cultures.
Cette acculturation permet de renforcer certaines cultures, mais bien évidemment au détriment d'autres cultures... Ce n'est pas autre que l'être humain qui est à l'origine de tout cela. En effet il veut conserver ses modes de vie acquis de ses ancêtres. Il n'y a donc pas de culture prospère et assez forte pour résister à la pression du monde sans nulle évolution (...)
[...] Cette notion de partage, de relationnel et de pluralité est le fondement préalable à toute culture. Effectivement, on ne peut pas vraiment parler de culture proprement dite pour un seul et unique individu car comme nous l'avons vu, elle se construit sur des échanges primordiaux et un partage humain nécessaire à la vivacité mais surtout à la survie de la culture. Une culture est donc impossible ou du moins le semble très fortement sans homme. C'est la réunion aboutissant à la formation d'un groupe humain qui donne naissance à la culture, par conséquent il est difficile d'en concevoir une sans être humain. [...]
[...] C'est difficilement concevable d'un point de vue social mais aussi surtout de notre point de vue philosophique ! L'homme ne serait alors qu'une bête sauvage et encore L'homme en tant que tel est un animal tout simplement, mais à la grande différence des autres espèces, il est doté d'un fascinant potentiel de capacités de réflexion qui en fait un être réfléchi au sens moral. En effet, la désignation actuelle de l'espèce humaine, homo-sapiens-sapiens ; l'homme qui sait qu'il sait, renforce cette idée de conscience d'avoir une conscience. [...]
[...] Personne n'est à l'abri de quoique ce soit, de dérives, de violations, de manquements ou bien encore de transgressions. C'est pourquoi la culture en voulant subsister doit se parer contre ces éventuelles attaques internes. Par des règles tout d'abord qui régissent cette culture, or ces règles proviennent des hommes eux-mêmes, elles sont le fruit de l'être humain qui les a mise en place. Cela signifie que la condition humaine a une volonté pour se protéger des individus en désaccord avec elle. [...]
[...] On le voit bien, la culture est quasiment indispensable à l'homme. La culture, même si parfois elle peut-être un mal à cause de confrontations entre elles, est plus que nécessaire à l'homme et à son bon développement. Celle-ci afin qu'il ait la possibilité de survivre dans un monde toujours plus oppressant et de sauvegarder ce qui semble primordial, ce qui parait le plus important, c'est-à-dire la dignité humaine, plus exactement le respect qui est dû à un individu par chacun de ses congénères. [...]
[...] A-t-il seulement existe un jour ? Car en dehors de tout système communautaire qui le valoriserait, il se retrouve seul confronté à rien, face à un mur vide. En perdant de la confiance, du respect ou de l'estime de la part des autres individus qui constitueraient sa culture, l'homme perdrait lui-même confiance en lui d'où la perte de dignité et remise en cause de la véritable signification de l'homme tel qu'il l'est. Ceci n'est pas uniquement valable pour notre temps. [...]
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