Liberté de l'homme, liberté absolue, capitalisme, Sigmund Freud, inconscient, bourgeoisie, théorie de la méthode psychanalytique, hystérie, surmoi, bien et mal, pulsions
Au 19e siècle, plusieurs éléments comme le capitalisme et l'exploitation des ouvriers ont chamboulé les croyances et les valeurs de la société. C'est donc pour cela que plusieurs personnes se sont penchées sur la liberté de l'individu au sein d'une société. Celle-ci se traduit par le fait d'être libre d'agir et de penser en tant que personne distincte au sein d'une société. Mais, l'homme est-il aussi libre qu'il le pense ? C'est ce que plusieurs philosophes se sont demandé. Sigmund Freud, qui a défini le concept de liberté en se penchant sur la réalité inconsciente de notre cerveau.
[...] À cette époque, la médecine attribue la plupart des maladies à une cause physique et ils ne croient pas à des causes psychiques. Par contre, avec l'arrivée des théories de Sigmund Freud, l'intelligentsia a compris que l'être humain n'avait pas seulement des composantes physiques, mais qu'il avait aussi des composantes psychiques par exemple, l'inconscient. Les symptômes de l'hystérie ont permis à Freud d'établir la théorie de la méthode psychanalytique. Selon lui, la liberté de l'humain est limitée par cette partie inconsciente de l'individu. Cette théorie repose sur trois facettes de l'inconscient qui interfèrent entre elles. [...]
[...] Selon moi l'humain ne bénéficie donc pas d'une liberté absolue. En conclusion, à l'époque de Freud, la science était en développement et cela a permis, par la même occasion, de développer la médecine et d'établir un lien entre le physique d'une personne et une maladie. Par contre, ils ne reconnaissaient pas qu'une maladie pouvait être d'origine psychique. C'est Freud qui a élaboré une théorie basée sur l'inconscient à partir de la méthode psychanalytique. Celui-ci croit que l'inconscient du cerveau interfère avec la liberté que l'être humain pourrait avoir s'il n'avait pas cette partie du cerveau. [...]
[...] C'est cette partie de l'inconscient qui vient interagir entre les traditions et les valeurs morales de la société et des générations antérieures et les pulsions de l'individu. Par exemple, si l'individu a une envie incontrôlable, c'est-à-dire une pulsion de faire de l'adultère, il enfouira cette envie au fond de lui pour que cela n'ait pas de conséquences sur la place qu'il occupe au sein de la société. C'est le surmoi qui lui dictera ce qui est bien ou mal de faire. [...]
[...] L'homme bénéficie-t-il d'une liberté absolue ? Au 19e siècle, plusieurs éléments comme le capitalisme et l'exploitation des ouvriers ont chamboulé les croyances et les valeurs de la société. C'est donc pour cela que plusieurs personnes se sont penchées sur la liberté de l'individu au sein d'une société. Celle-ci se traduit par le fait d'être libre d'agir et de penser en tant que personne distincte au sein d'une société. Mais, l'homme est-il aussi libre qu'il le pense ? C'est ce que plusieurs philosophes se sont demandé. [...]
[...] Ma prise de position par rapport à la question suivante : L'homme bénéficie-t-il d'une liberté absolue ? Pour ma part, je suis en accord avec Freud pour dire que l'humain ne bénéficie pas d'une liberté absolue. En effet, depuis toujours, la société dicte aux gens ce qui est bien ou mal et les envies, pour ne pas dire les pulsions que l'on a doivent être enfouies puisqu'il arrive que celles-ci concordent avec ce qui est bien aux yeux de la société. [...]
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