Introduction rédigée et plan détaillé pour le sujet d'introduction suivant :
« Une vie heureuse est-elle une vie de plaisirs ? »
[...] Or, qui peut être vraiment heureux s'il n'est pas libre ? Dans la philosophie moderne, la joie est valorisée, capable de vaincre les douleurs et l'homme heureux pour Spinoza recherche le bonheur pour les autres autant que pour lui-même. Elle est vue par Spinoza comme « le passage de l'homme d'une moindre à une plus grande perfection », c'est-à-dire comme une capacité à faire que l'être humain puisse pleinement se développer. cela suppose une quête de sens de nous par rapport à nous et aux autres pour une vie réussie ? [...]
[...] - Une vie heureuse s'entend ici comme une exclusion de la souffrance. Épicure définit le bonheur par le plaisir. Mais le plaisir épicurien est à comprendre dans un sens de négation, dans le sens d'une absence de douleur physique appelée Aponie et dans l'absence de trouble de l'esprit nommé Ataraxie pour être heureux avec Epicure il faut maximiser les plaisirs, faire qu'ils soient intenses et tout faire pour les prolonger et bien sûr, éviter les douleurs. être heureux exclut la souffrance, le plaisir est la preuve de cette négation. [...]
[...] Proposez une introduction rédigée et un plan détaillé pour le sujet d'introduction suivant : « Une vie heureuse est-elle une vie de plaisirs ? » « Tous les humains veulent être heureux » de l'antiquité à nos jours, les philosophes, les théologiens et les psychologues, malgré leur divergence de point de vue, s'accordent sur cette proposition de Platon. Néanmoins, il n'est pas aisé de définir ce qu'est une vie heureuse que l'on assimile com munément au bonheur ni comment y parvenir, celui-ci n'est ni quantifiable ni vérifiable il dépend de la subjectivité de chacun empreinte de son histoire. [...]
[...] La vie heureuse peut être la vie contemplative : c'est ce que suggèrent Aristote et Platon. Le plaisir de la connaissance et de la contemplation des idées étant indépendant et plein. - Une vie heureuse comme idéal qui fait intervenir notre imagination qui est le propre de l'être humain. Selon Kant, le bonheur est « un idéal, non de la raison, mais de l'imagination ». Car la raison ne peut connaître la totalité des désirs à combler, car cela relève de la singularité de chacun donc d' une infinité de désirs différents et changeants. [...]
[...] Transition : cette définition d'une vie heureuse évoque une satisfaction totale de nos désirs mais est-ce possible ? La recherche du plaisir ne risque-t-elle pas de se transformer en souffrance ? II . Le plaisir est éphémère et ne peut en ce sens être une condition suffisante d'une vie heureuse. L'Epicurisme cherche plutôt le bonheur qui implique la durée et se prête plus à la notion « d'une vie » c'est-à-dire dont on pourrait faire le bilan à posteriori. Le bonheur passe certes par le plaisir mais un plaisir plus modéré et faisant appel à la raison. [...]
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