Hegel philosophe allemand du XVIII-XIX siècle, dans Propédeutique philosophique parle de la détermination de la volonté et de la liberté de l'homme. Dans cet extrait de texte, il défend son idée par laquelle l'homme agit et est libre même quand il déclare que sa volonté est déterminée et est juste le fruit de circonstances, mobiles, excitation et impulsions. Il démontre a l'aide de cet extrait comment l'homme peut-être libre alors qu'il est déterminé ou comment le déterminisme exclut la liberté (...)
[...] A cela peut s'ajouter une raison d'intention de choisir A plutot que c'est une raison suffisante pour être libre car elle sera déterminé par un esprit libre. Même si l'homme dit qu'il est déterminé par des envies, circonstances et qu'il n'est pas libre cela est impossible. Effectivement pour une même action avec les mêmes circonstances de départ deux hommes ne choisiront pas forcement la même. L'esprit libre qui les a considérés a donc accordé une place plus importante à telle raison plutot qu'à une autre, il a donc été libre de choisir. [...]
[...] Cette formule implique que je me suis comporté de façon passive. Mais, en réalité, mon comportement n'a pas été seulement passif : il a été actif aussi, et de façon essentielle, car c'est ma volonté qui assume telles ou telles circonstances comme mobiles, qui les fait valoir comme mobiles. Il n'y a pas de place ici pour la relation de cause à effet. Les circonstances ne jouent pas le rôle de cause, et ma volonté n'est pas l'effet de ces circonstances. [...]
[...] Introduction Hegel philosophe allemand du XVIII-XIX siècle, dans propédeutique philosophique parle de la détermination de la volonté et de la liberté de l'homme. Dans cet extrait de texte, il défend son idée par laquelle l'homme agit et est libre même quand il déclare que sa volonté est déterminée et est juste le fruit de circonstances, mobiles, excitation et impulsions. Il démontre a l'aide de cet extrait comment l'homme peut-être libre alors qu'il est déterminé ou comment le déterminisme exclut la liberté. [...]
[...] Je ne fais une action que dans le but de satisfaire mes propres désirs. A cela s'ajoute le fait que la notion de désir n'étant jamais parfaitement remplie, je ne serai donc jamais libre. De plus, les mobiles d'une action ne peuvent être déterminants sans que ma volonté les ait fait valoir comme cela. Les circonstances étant vus et pensées par un esprit libre qui peut donc être différent selon l'homme qui les pense permet de dire qu'il y a une part de liberté importante dans le choix de ce que je vais faire : plus on a de raison de choisir un choix et plus on est déterminé et plus on est libre. [...]
[...] Ils ne sont en faite qu'esclaves de la nature. Or cela ne peut être possible, la conduite de cette homme est toujours la sienne et non celle d'un autre ni l'effet de quelque chose en dehors de lui De plus, comme le soutiendrait Kant, l'éducation et la vie en communauté (la culture au sens large) ont agi sur l'homme en remplaçant ses lois naturelles par des lois sociales. L'homme qui affirme que sa volonté a été déterminé par es envies et qu'il n'est pas libre est faux car il est le seul chef de sa volonté et de la façon dont il juge ses circonstances Conclusion Nous pouvons donc conclure et résumer ce texte par deux phrases de cet extrait qui permet d'apercevoir les visions d'Hegel : ma volonté a été déterminé par ces mobiles, circonstances, excitations et impulsions les circonstances ou mobiles n'ont jamais sur l'homme que le pouvoir qu'il leur accorde lui-même Etre déterminé quand les circonstances sont jugé par l'homme comme suffisantes, c'est être libre. [...]
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