Exemples de grandes écoles philosophiques

Résumé du document

Parménide

Philosophe ayant appartenu à l'école d'Elée qui a été fondé par Xénophane inspiré de Pyth. Comme Pyth, Parm va essayer de résoudre le pb du désordre. Il ne va pas partir des mm préjugés, en effet le non-ê n'est pas, ne considère pas le chgt cstant. Ce qui « est » pr lui c'est ce qu'on a pensé. C'est un idéaliste. Pr lui tt origine vient de l'harmonie fondamentale du monde. Pr Parm, il faut cesser l'antagonisme et n'affirmer que des vérités scientifiques. Cela va permettre de suivre une ligne directrice. Ex : astronomie : bcp d'imprévisibilité ms scientifiques essaient de trouver une structure stable : chercher de l'ordre derrière le désordre. Derrière chgt cstant il y a de l'intelligence. Seul ce qui dure « est ». Ainsi seuls les Idées « sont » et pas les apparences.

Pr Xénon, le mvt est impossible car si on prend un mobile qui doit se déplacer de A à B, avt d'arriver à B il doit arriver à C (milieu de [AB]) mais avt d'arriver à C il doit arriver par D (milieu de [AC]). Pr lui, ce que l'on voit est une illusion, seul le raisonnement prime pour l'ê. Pr lui, le monde n'est pas en accord ac la raison. Bergson s'est efforcé de réfuter cette thèse (...)

Extraits

[...] De l'Un a émané le reste de l'univers en tant que séquence d'êtres inférieurs. On ne peut lui assigner aucun attribut, pas plus que la pensée, car elle implique une distinction entre le penseur et l'objet de sa pensée. C'est cet Un qui est la source du monde, non par un acte de création, volontaire ou non, car l'activité ne peut être appliquée à cet Un immuable, donc immobile. Plotin fait ici appel à un principe de logique, savoir que le moins parfait doit, nécessairement, émaner d'un parfait ou d'un plus parfait Donc, toute création émane de l'Un en étapes successives (sans notion de temporalité) de moins en moins parfaites. [...]

[...] Elle correspond à une rupture. Volonté de retour à la nature à 1 certaine simplicité : maîtrise de ses passions, ses désirs qui ont été multipliés par la société. Pour les stoïciens la nature a un ordre où tout à sa place. Φ dogmatiques : pour eux doute est vecteur de déséquilibre, de malheur. Ces grands principes vt rester au fil des siècles. Épicure ne comprend pas comment le doute peut nous rendre heureux/sage Pts de divergences Les épicuriens rejettent la théorie formelle alors qu'elle est fondamentale chez les stoïciens. [...]

[...] Ancien : Zéron/Cléanthe/Chrysippe - Sto. Moyen : Panétius/ Posidonius - Sto. Impérial ou nouveau : Epictète/ Sénèque/ Marc Aurèle Zénon eut de nbreux maîtres et dc bcp d'influences. Il avait une Φ dogmatique. Chrysippe : 2e fond Nationalisation des θ de Zénon =>argumentations détaillées, refusent mode des Idées Autonomie par rapport aux maîtres : réflexion personnelle. Divination neuf= peut prévoir l'avenir. Prônaient la providence : tt est ordonné. Pr eux les oracles : s'adapter à la pratique, aux situations. Etaient ouvert à la société. [...]

[...] Il faut s'attacher à tt et pas à qqch en particulier. Ici on a un rapport esthétique aux choses. Dosage, s'investir ds un rôle en s'investissant ds ces actions comme si c'était notre dernière action. Cf. Epictète + Marc Aurèle. Au départ, on a un rôle contingent (ne choisit pas sa famille par Cpdt il est nécessaire qu'il y ait un rôle. Notre rôle est donné par le destin, ainsi pr maintenir le cosmos, l'harmonie, il faut respecter et s'invertir ds son rôle. [...]

[...] Dérive vision illusoire du monde. L'H malheureux vit ds l'imaginaire. Ex du beau cheval→ se vanter d'un bien qui n'est pas propre. Limites corporelles ne pas dépasser besoins. Ex : pied a besoin d'une chaussure, mais c'est tt. désiré infiniment (pas besoin d'une belle chaussure) Ce que nous sommes : notre cse Conception de la passion : elles ne st pas subies ns sommes responsables de nos passions. On peut ainsi s'en libérer. Si on accorde trop d'importance mauvaise représentation des choses. [...]