[...] Ligne 1 à 5 (Si l'on veut [...] trois fonctions):
La religion est présentée comme une prise de conscience qui conduit à la lucidité. En effet, Freud conduit le lecteur à s'interroger sur l'envergure et l'attraction de la religion sur l'homme. Dès lors, pour pouvoir comprendre la finalité de la religion, Freud semble penser qu'il faut tout d'abord saisir les caractéristiques fondamentales de celle-ci. Par « grandiose », l'auteur est loin de faire l'éloge de la religion, bien au contraire. Il insinue seulement que la religion est omniprésente dans la vie de l'homme et que sa présence est, par conséquent, non négligeable. Dès lors, la religion échappe à l'homme et se représente, dès lors, comme un désir qui conduit à l'illusion. Ainsi Freud énonce les différents désirs que la religion satisfait (...)
[...] Ligne 6 à 8 (Par la première [ ] avec elle): La première fonction de la religion semble donc être la connaissance puisqu'elle permet à l'homme de connaitre ses origines ainsi que celles du monde. Dès lors, D.ieu permet d'expliquer la création et l'origine du monde et de la vie humaine. En effet, l'homme désire connaitre comment et pourquoi le monde s'est créé et c'est pourquoi D.ieu devient une référence. Or, comme le montre Freud, la science est d'autant plus limitée qu'elle ne peut répondre à toutes les questions de l'homme. [...]
[...] Dès lors, pour pouvoir comprendre la finalité de la religion, Freud semble penser qu'il faut tout d'abord saisir les caractéristiques fondamentales de celle-ci. Par grandiose l'auteur est loin de faire l'éloge de la religion, bien au contraire. Il insinue seulement que la religion est omniprésente dans la vie de l'homme et que sa présence est, par conséquent, non négligeable. Dès lors, la religion échappe à l'homme et se représente, dès lors, comme un désir qui conduit à l'illusion. Ainsi Freud énonce les différents désirs que la religion satisfait. [...]
[...] Alors que la religion offre une vie après la mort, elle continue d'accompagner l'homme malgré la fin de sa vie. Ligne 16 à 18 (C'est dans sa troisième [ ] de la science): La troisième fonction de la religion montre son caractère dogmatique dans la mesure où il y a des règles à respecter. En effet, les règles sont dictées en fonction des valeurs du Bien et du Mal et amènent à des rites. Dès lors, cette fonction éloigne d'autant plus la religion de la science puisque la science doit être la plus objective possible puisqu'elle prouve tout et ne se fie pas à un devoir. [...]
[...] En effet, la science ne peut uniquement répondre à la question comment grâce à la démonstration et à l'expérimentation. Dès lors, les objets métaphysiques ne peuvent être exploités par la science contrairement à la religion. Il y a donc une véritable rivalité entre la science et la religion dans la mesure où la religion consiste à l'application de dogmes qu'il faut croire alors que la science nécessite une construction du savoir. Ligne 8 à 16 (C'est à sa deuxième [ ]que la soumission): Le deuxième rôle de la religion semble être un rôle de protection dans la mesure où l'homme se sent rassurer. [...]
[...] C'est à sa deuxième fonction qu'elle doit sans doute la plus grande partie de son influence. Lorsqu'elle apaise l'angoisse des hommes devant les dangers et les vicissitudes de la vie, lorsqu'elle les assure d'une bonne issue, lorsqu'elle leur dispense de la consolation dans le malheur, la science ne peut rivaliser avec elle. Celle-ci enseigne, il est vrai, comment on peut éviter certains dangers, combattre victorieusement bien des souffrances; il serait très injuste de contester qu'elle est pour les hommes une puissance auxiliaire, mais dans bien des situations, elle doit abandonner l'homme à sa souffrance et ne sait lui conseiller que la soumission. [...]
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