Les sentiments sont en lien avec la morale, deviennent motif universel d'action, incarnent la dignité humaine.
K. est ici influencé par Rousseau : sentiment = source de la moralité.
Hiérarchie des valeurs morales. Supériorité de "l'état de nature" sur la civilisation : agir de façon naturelle et non artificielle (...)
[...] Problème du devoir : comment expliquer les actions humaines ? pas par rapport à leur caractère empirique qui reste de l'ordre du phénomène ce qui apparaît), mais par rapport au caractère intelligible causalité libre, non conditionnée par la nature et le sensible). La philosophie de l'histoire Dans quel sens se poursuit le développement historique de l'homme ? en dépit des apparences, il y a une marche réellement ordonnée de l'histoire (par les œuvres humaines). En effet, l'homme est doué de raison civilisation organisation et poursuite d'un développement commun progrès. [...]
[...] Le devoir n'est pas un concept empirique pas vraiment d'expérience du devoir. Motifs de nos actes restent secrets, même pour nous-mêmes. La moralité ne doit donc pas être fondée sur ce qui est, mais sur ce qui doit être absolument. Origine de la loi morale dans la raison. La moralité ne se voit pas dans les actions déjà réalisées : pas de prototype de la moralité dans les expériences passées (ne se voit pas, car pas sensible, mais provient de la raison). [...]
[...] Cette théorie constitue le fondement de la morale de K. Idée cosmologique = idée destinée à achever l'explication des évènements du monde par leurs causes. Liberté = faculté de commencer spontanément un état sans que la causalité qui détermine cet état ne relève de l'action d'une autre cause extérieure (transcendantale, sans expérience). Liberté pratique = dans une expérience, indépendance de notre volonté dans un monde fait de contraintes sensibles. Le concept de liberté explique donc la spontanéité des actions de l'homme. L'homme est une cause agissante. [...]
[...] Liberté = causalité de la raison donc elle est le propre des êtres raisonnables. Ils n'agissent que par la raison, donc que par la liberté. Pour affirmer notre libre causalité et notre autonomie d'êtres raisonnables, nous faisons la différence avec la représentation de notre moi d'après ses états empiriques c'est la raison qui fait cette distinction = distinction entre les phénomènes (ce qui apparaît) et les choses en soi (ce qui est). Or on conçoit les choses en soi à partir des phénomènes. [...]
[...] Le sentiment moral et l'obligation qu'il implique serait un de ces faits. Volonté universelle = nouvelle conception de la morale et de la métaphysique selon K La morale de Kant dans la période de la philosophie critique La critique de la raison spéculative Doctrine de l'idéalité de l'espace et du temps : ce ne sont ni des substances, ni des accidents, ni de simples rapports, mais des institutions pures provenant de l'esprit même conditions nécessaires à l'exercice de la perfection sensible. [...]
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